mardi 22 juillet 2014

Désormais la France est Israël

Gaza
Manif du Samedi 26 Juillet:  
Tous à République
15h 
Le gouvernement français est allé plus loin qu'aucun autre dans sa position pro-israélienne c'est le Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF-MOSSAD) qui a demandé le premier et obtenue, «l'interdiction des manifestations en faveur du Hamas ».


FRANCE=Israël
Israël=France
Police française=Police Israélienne
Armée française=Tsahal


Tels sont les faits, telle est la nature exacte du gouvernement qui dirige l'appareil d’État en France et son capitalisme est pro-Israël lui aussi. Tout le "spectacle politique" du FN au PS est manipulé par le MOSSAD.
Tous ceux et toutes celles qui veulent s'opposer à la dictature raciste des réviso-sionistes peuvent choisir le terrain d'affrontement ici comme d'autre le font à Tel-Aviv ou à Gaza. C'est seulement l’intensité de la violence militaire qui est différente pour l'instant.
Israël attend les 600000 français juifs comme colons pour les territoires occupés il est donc nécessaire de provoquer leur rejet par la peur. Le nombre de pseudo-incidents antisémites exploités par la presse de caniveau est incalculable hors des secrets de ses fabriquant.
Qui se rappel de cette école juive de Créteil incendiée par le fils (juif) des concierges et subitement exploité comme Pogrom de Créteil par les médias réviso-sionistes (sans même le moindre blessé) sous Chirac qui se ridiculisa à faire une déclaration solennelle, le ton était donné et la machine lancée. Des tarés apeurés téléphonaient de Tel-Aviv à leur famille en France, leurrés par leur propre gouvernement.
La minorité des français juifs fanatiquement pro-Israël (moins de 20% malgré les menaces et pressions) encadrée par les sayanims (pas tous juifs) dicte sa loi au sommet de l’État français pour en tirer deux bénéfices, le soutient direct à leurs entreprises criminelles en Palestine et l'assurance d'une immigration forcée vers Israël par rejet du corps social.
Cette entreprise n'est pas nouvelle mais elle a atteint sa maturité en liant définitivement toute expression du judaïsme à l'apologie de l’État néo-hébreux.
Une avalanche de CRIFmans, toujours les mêmes, répètent inlassablement et toujours sous des appellations de "spécialistes" "neutres" les propagandes alarmistes et racistes. Ils se couvrent d'une "autorité morale" en pillant les cadavres d’Auschwitz.
Des Rabins ignares s'inventent des diplômes, ceux là sont les plus facile à utiliser pour nourrir la farce permanente. Le porc qui trône à la Grande Mosquée de Paris donne des leçons de moralité aux musulmans alors que sont propre fils pistonné par Sarkozy est un apostat devenu extrémiste Chrétien, belle preuve du charisme du père censé être une autorité de l'Islam...
L'antisémitisme est devenue caduc rue de la Roquette ou une synagogue organise la terreur et les ratonnades contre la population française indignée par le génocide de Gaza, sous le commandement conjoint du MOSSAD et de ses auxiliaires indigènes de la police française.
En ces temps de massacre à Gaza on ne doit pas oublier que cela fait exactement 19 ans que les médias du MOSSAD annoncent que l'Iran aura la bombe nucléaire dans deux ans...
L’Iran a donc 17 ans de retard en 2014 au moment ou elle négocie avec les USA son programme nucléaire civil. Entre temps Tsahal à reçu 6 sous-marins Allemands à potentiel nucléaire en plus de son arsenal nucléaire en missiles et avions porteurs.
Quel que soit leur doctrine politique ou religieuse les résistants palestiniens sont les héros de cette tragédie.
Oui, Arafat a été assassiné ignoblement par Israël avec la complicité de l’État français.
Il avait négocié la paix et reconnu l’État Israélien avec *Yitzhak Rabin qui fut assassiné par un extrémiste juif en 1995 après une longue campagne de calomnies menée par les amis d'Avigdor Lieberman et Netanyahu, les fascistes qui dirigent la France et Israël.
Ceux qui gouvernent Israël et la France aujourd'hui sont précisément les extrémistes assassins  de Rabin, d'Arafat et de paix d'Oslo.

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PROPAGANDE et RÉALITÉ
L'AFP:(agence France pro-Israël) diffuse systématiquement la propagande Israélienne dont voici un extrait soigneusement reproduit dans l'ensemble des médias aux ordres du gouvernement réviso-sioniste.

«Plus en sécurité sous les roquettes que rue de la Roquette»

"...L’immigration des juifs de France est devenue une priorité pour les autorités israéliennes, dans un climat d’inquiétude sur une montée de l’antisémitisme en Europe. «Après ce qui s’est passé à Paris récemment, il est de plus en plus clair que la place des juifs de France est en Israël», souligne Oded Forer, en précisant qu’un directeur et coordinateur des activités concernant l’immigration juive de France vient d’être nommé par son ministère.Pour Laurent Attelann, 41 ans, venu avec sa femme et ses quatre enfants de Paris pour vivre à Ashdod, «c’est un aboutissement». Evoquant la manifestation pro-palestinienne à Paris dimanche dernier, qui a dégénéré près d’une synagogue, Laurent Attelann assure «se sentir plus en sécurité sous les roquettes que rue de la Roquette», où ont eu lieu les incidents. Même discours pour Laurent Kalfa, 44 ans, qui va lui aussi s’installer à Ashdod avec ses cinq enfants. Il confie qu’il se sentait «de moins en moins en sécurité» à Paris..."

Au même moment à Tel-Aviv:

Manifestation de pacifistes israéliens contre l'opération militaire à GAZA

Israël: violences internes en marge des roquettes

Des dizaines d'extrémistes ont interrompu une manifestation de pacifistes israéliens
Affrontements internes Plusieurs dizaines de militants d'extrême-droite ont violemment interrompu une manifestation de pacifistes israéliens, qui défilaient dans le centre de Tel-Aviv samedi soir contre l'opération à Gaza, ont rapporté des témoins sur place.

Un manifestant a dû être transporté d'urgence à l'hôpital Ichilov après avoir été battu, selon la police, qui rapporte qu'aucun des assaillants n'avait été arrêté dans la soirée. La manifestation a commencé à 20h et rassemblé plusieurs centaines de personnes, 20 policiers répondaient à l'appel pour éviter tout débordement de haine. Lorsque la sirène d'alerte aux missiles a retenti à Tel-Aviv vers 21h, la police et les manifestants se sont précipités vers les abris, tandis que les perturbateurs ne se sont pas réfugiés dans les abris anti-missiles et ont tenté de poursuivre les manifestants tout en les menaçant, ont rapporté des témoins. Les manifestants qui ont tenté de se défendre ont été frappés violemment, de sorte qu'un homme a perdu conscience. Selon les témoins, les forces de police "n'ont pas fait assez pour contenir la violence".

Un rappeur israélien, Yoav Eliasi, célèbre sous le nom de groupe "The Shade" a été aperçu parmi les assaillants. Il appartient également au club de supporteurs du Beitar Jérusalem, connu pour son racisme extrémiste et ses débordements de violences fréquents.


Le mémorial d'Abu Khdeir saccagé par les colons franco-israéliens

Pour la seconde fois depuis une semaine, le monument construit à la mémoire du jeune Palestinien assassiné a été vandalisé.Le mémorial, qui se dresse au lieu exact où le jeune garçon a été retrouvé brûlé vif dans la forêt de Jérusalem le 2 juillet a été fondé mardi dernier par des habitants de Beit Zayit et de Jérusalem, qui ont spontanément construit un petit monument à l'aide de pierres et de fleurs. A deux reprises, des assaillants ont essayé de le détruire. Or deux jours plus tard, des membres du mouvement de jeunesse Dror et Haoved VeHalomed ont reconstruit le petit mémorial, avant qu'il ne soit détruit à nouveau hier.

 

En sécurité sous les roquettes... Une spirale de violence sans fin

Alors que l’opération militaire "Bordure protectrice" se poursuit à Gaza (ce dimanche 20 juillet a été la journée la plus meurtrière depuis le début de l'offensive israélienne), ils sont de plus en plus nombreux à osciller entre dénonciation ferme de la politique de Benyamin Netanyahou et exaspération croissante face aux tirs de roquettes du Hamas. Rencontre avec ces Israéliens en plein doute.
Plus que jamais, ils ont le sentiment de ne pas être entendus. Alors qu’une impressionnante flambée de violence embrase l’Etat hébreu et les territoires palestiniens depuis plusieurs semaines, la frange modérée de la population israélienne semble chaque jour un peu plus accablée. En cause, sa condamnation très claire de l’opération "Bordure protectrice", lancée le 8 juillet dernier.
"C’est une initiative inefficace, une intervention inutile, voire nocive", soutient Avi, gérant d’un café dans la banlieue de Tel Aviv. "Elle pose un premier problème majeur : celui de l’image", assène-t-il. "En décidant d’envoyer l’armée à Gaza, Netanyahou nous fait encore une fois passer pour des gens belliqueux, 'va t’en guerre', de ceux qui veulent en découdre à tout prix. Ces manœuvres ne représentent pas une solution viable à long terme et le Premier ministre le sait bien. Il ne cherche qu’à gagner du temps !", s’agace-t-il derrière son comptoir.

Plus encore, la décision d’entrer dans Gaza est jugée contre productive dans la lutte contre le Hamas. "Notre unique objectif devrait être d’endiguer l’influence du mouvement islamiste. Or, je crains que l’opération terrestre de Tsahal ne fasse qu’attiser la violence sur le terrain, nous entraînant malgré nous dans une spirale de violence sans fin…", se désole Ava, une jeune Israélienne de 23 ans, originaire de Jérusalem.
Un engrenage également dénoncé par Lucie, une française immigrée en Israël depuis plusieurs années : "Rien de bon ne peut découler d’une intervention militaire. Ce n’est pas en entrant dans Gaza que nous obtiendrons la paix", soupire la jeune femme.
Une analyse qui ne fait pas l’unanimité, même au sein de la population de centre-gauche. Amorcée le 17 juillet dernier, l’opération terrestre mobilise tous les corps de l’armée, de l’infanterie à l’aviation, en passant par le renseignement. Le but affirmé du gouvernement ? Frapper les infrastructures du Hamas. Un engagement total largement approuvé par Ariel, étudiant à Beersheva. "C’était inévitable. Même si nous espérons la paix, nous ne sommes pas naïfs. Le Hamas est prêt à tout pour nous détruire. Il ne nous laisse plus le choix", affirme-t-il doctement.

Une contradiction vivace

Malgré leurs réserves à l’égard de l’opération décrétée par la coalition de droite au pouvoir, les Israéliens modérés n’en peuvent plus. Depuis le début de l'offensive terrestre, les combattants du Hamas ont tiré des centaines de roquettes. Éprouvés par plusieurs jours de tension, excédés par les alertes quotidiennes, ils attendent l’arrêt total des attaques, notamment dans le sud du pays. "Je me sens solidaire de la population du sud, reprend Ariel. Une partie de ma famille vit près d’Ashkelon, à une dizaine de kilomètres de la bande de Gaza".
"Comment leur faire comprendre mon point de vue quand leur vie est rythmée par les sirènes ? Quand ils vivent sous la menace permanente des roquettes ?", s’interroge-t-il. Une contradiction vivace aussi pour les habitants de Tel Aviv. "Notre bulle a éclaté. Ici, on s’est toujours senti plutôt épargné. Nous vivons dans une ville ouverte, encline au dialogue mais depuis que les premières sirènes ont retenti, la population s’est crispée. Et moi aussi", avoue Ava. "Au delà de toutes considérations politiques, je veux à tout prix que cela s’arrête".

* Le 14 octobre 1994 Itzhak Rabin, Shimon Peres, et Yasser Arafat reçoivent un prix commun pour leur action en faveur de la paix au Proche-Orient. La signature des accords Gaza-Jéricho (13 septembre 1993), qui accorde l'autonomie palestinienne aux deux territoires occupés, leur a valu de remporter la plus grande des distinctions internationales le prix Nobel de la Paix.

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