La Criirad (Commission de recherche et d’information indépendantes sur la radioactivité) a aussi effectué ses simulations pour tenter d’estimer le niveau de radioactivité qui touchera la France. La simulation est basée sur les données météorologiques du 12 mars au 21 mars archivées par le NOAA américain. Trois trajectoires ont été établies, en fonction de l’altitude de départ des radionucléides : en vert notamment la trajectoire des particules radioactives émises à 50 mètres de hauteur (en bleu 500 mètres, en rouge 1 000 mètres, assez peu réaliste dans le cas de Fukushima).
Le devenir du nuage dépendra des facteurs météorologiques, notamment du vent, et de sa composition précise : la quantité d’iode radioactif se divise par exemple par deux tous les huit jours tandis que pour le césium il faut trente ans. Mais dans tous les cas, il y aura des particules dans l’atmosphère du monde entier.
A partir des rejets estimés par l’IRSN, Météo France a simulé la dispersion des rejets radioactifs à très grande distance, projetée jusqu’au 26 mars.
ACCIDENTS NUCLÉAIRES AU JAPON
Annexes:
Trajectoires
Communiqué du 21/03/2011 à 11h :
ALERTE RADIOACTIVE SUR LE JAPON :
les vents repoussent les masses d’air contaminé vers les zones habitées
ALERTE RADIOACTIVE SUR LE JAPON :
les vents repoussent les masses d’air contaminé vers les zones habitées
Annexes:
Données sur les épinards
Communiqué du 20/03/2011 à 9h :
Contamination radioactive des aliments au Japon
Contamination radioactive des aliments au Japon
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