Baston à Bagdad |
Obama est un grand con !
Qu'on y songe, voila sa dernière déclaration creuse: «Le régime de Mouammar Kadhafi a bafoué les normes internationales et la morale élémentaire, il doit être tenu responsable» kezako ?Des mots, des mots vides de sens
Neuf morts en Irak lors des rassemblements
Les rassemblements organisés vendredi à travers tout l'Irak ont été marqués par des heurts entre manifestants et forces antiémeute. À Mossoul, dans le nord du pays (kurdistan), cinq personnes ont été tuées par balles, selon la police, deux autres l'ont été à Hawija, dans la province de Kirkouk, un à Samarra et un jeune de 15 ans à Calar. À Bagdad, plus de 5 000 manifestants étaient réunis vendredi sur la place Tahrir. Les organisateurs insistaient sur le fait qu'« il ne s'agissait pas de faire tomber le gouvernement», mais seulement de réclamer «des réformes» et la fin de la corruption d'un régime pourrit. Le premier ministre irakien, Nouri al-Maliki, les a accusés d'être des partisans de Saddam Hussein. Depuis le début du mouvement populaire qui dure depuis quelques semaines en Irak, onze manifestants et un policier ont été tués.
Des milliers de Jordaniens dans les rues d'Amman
Dix mille personnes ont manifesté dans les rues de la capitale jordanienne vendredi pour plus de «réformes constitutionnelles » et la fin de la corruption. Cette «journée de la colère» a été organisée par tous les partis d'opposition, notamment le Front de l'action islamique, les frères musulmans jordaniens. C'est le plus grand rassemblement dans le pays depuis le début du mouvement de contestation en janvier. Trois mille membres des forces de l'ordre avaient été mobilisés pour l'occasion.
Les Tunisiens réclament la démission du gouvernement
Une centaine de milliers de Tunisiens manifestaient vendredi devant la Kasbah, à Tunis. Ils réclamaient le départ du gouvernement de transition de Mohammed Ghannouchi, soupçonné de compromission avec l'ancien pouvoir. C'est la plus grande manifestation depuis la chute de Ben Ali.
Nouvelles manifestations sur la place Tahrir du Caire
Des milliers d'Égyptiens se sont rassemblés dans une ambiance festive vendredi sur la place Tahrir deux semaines jour pour jour après la fuite de Hosni Moubarak. Ils s'étaient réunis pour célébrer la révolution et en signe de solidarité avec la Libye. Mais également pour réclamer un nouveau gouvernement. Le premier ministre Ahmed Chafiq et ses ministres sont accusés par les manifestants d'être «inféodés au régime corrompu». Ils veulent qu'il soit remplacé par un gouvernement de «technocrates».
Marches massives au Yémen pour le départ du président Saleh
Le Yémen a connu vendredi des manifestations, qui voulaient marquer «le début de la fin» du régime du président Saleh, au pouvoir depuis vingt et un ans. Deux de ces marches massives ont dégénéré à Aden, dans le sud du pays. Un manifestant a été tué et vingt autres personnes ont été blessées par des tirs de la police.
Maroc: Un appel est lancé au peuple marocain de manifester le 26 et 27 février. La répression policière du pouvoir corrompu au Maroc continue de s’abattre sur la jeunesse du 20 Février, un mouvement qui appelle les jeunes et les citoyens à la désobéissance civile pacifiste pour exiger sinon imposer un changement politique et social dans le pays. Selon des sources fiables, il y aurait deux morts et une soixantaine de blessés, des [affrontements] n’ont pas cessé entre la population et les forces de répression dans la région d'Al-Hoceima (Imzouren, Aït Bouayach). Des chars encerclent la ville alors que d’autres brigades sèment la terreur, effectuent des arrestations en masse, défoncent les portes des maisons.
Fès: Les forces de répression ont encerclé l’université se livrant à des affrontements avec les étudiants, sous l’égide de l’Union Nationale des Étudiants Marocains UNEM (milice d'État), déterminés à faire respecter la non violation de l’enceinte de l’université.
À Oujda: une grande manifestation d’étudiants réprimée par les forces de répression causant plusieurs blessés.. Ce silence complice des médias est inadmissible. Les revendications de la jeunesse du 20 Février restent toujours d’actualité. Devant indifférence du pouvoir, un autre appel est lancé au peuple marocain de sortir et manifester le 26 et 27 février.
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