Biographie du bougre Claude Guéant
Le Canard enchaîné à paraître mercredi 3 novembre affirme que Nicolas Sarkozy supervise personnellement la surveillance de certains journalistes.
Le Canard enchaîné à paraître mercredi 3 novembre affirme que Nicolas Sarkozy supervise personnellement la surveillance de certains journalistes.
Les affirmations du Canard Enchaîné s'appuient sur des sources anonymes au sein de la DCRI, mais aussi sur une déclaration d'Henri Guaino, conseiller spécial du président, l'hebdomadaire satirique assure qu'une cellule spéciale du renseignement s'emploie à retrouver les sources des journalistes.
Le renseignement ne nie pas procéder à d'éventuelles surveillances pour "la défense des intérêts de l'État". Un argument déjà invoqué dans le cas de la mise sous surveillance d'un journaliste du Monde travaillant sur l'affaire Bettencourt.
«La DCRI ne s'occupe pas des journalistes, mais, éventuellement, de leurs sources»
Mediapart ferait l'objet d'espionnage depuis plusieurs mois, et notamment les deux journalistes Fabrice Arfi et Fabrice Lhomme qui enquêtent sur les affaires Karachi et Bettencourt. Ils seraient sous surveillance téléphonique depuis mars-avril.
Fabrice Arfi et Fabrice Lhomme "auraient eu droit au même traitement que leur confrère du Monde, Gérard Davet, ou que la juge de Nanterre, Isabelle Prévost-Desprez, dont les "fadettes" (factures détaillées) des téléphones portables ont été explorées par la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI)".
Mediapart affirme que l'Élysée s'est penché sur les actionnaires du site, "laissant entendre à des rédactions que l'un d'eux aurait eu des ennuis avec l'administration fiscale".
Plusieurs journalistes de Mediapart auraient eu "fait l'objet de curiosités policières hors de toute justification légale" à propos de leur patrimoine privé.
Un proche d'un ministre aurait confié à Medipart que le secrétaire général de l'Élysée lui-même, Claude Guéant, se chargerait personnellement de toutes ces enquêtes. Claude Guéant serait assisté dans cette tâche par "un ancien policier à la retraite". Ce dernier a toutefois démenti l'information à Mediapart.
L'Élysée aurait recours à une officine privé de sécurité et de renseignement gérée par des anciens des services secrets.
Mediapart ferait l'objet d'espionnage depuis plusieurs mois, et notamment les deux journalistes Fabrice Arfi et Fabrice Lhomme qui enquêtent sur les affaires Karachi et Bettencourt. Ils seraient sous surveillance téléphonique depuis mars-avril.
Fabrice Arfi et Fabrice Lhomme "auraient eu droit au même traitement que leur confrère du Monde, Gérard Davet, ou que la juge de Nanterre, Isabelle Prévost-Desprez, dont les "fadettes" (factures détaillées) des téléphones portables ont été explorées par la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI)".
Mediapart affirme que l'Élysée s'est penché sur les actionnaires du site, "laissant entendre à des rédactions que l'un d'eux aurait eu des ennuis avec l'administration fiscale".
Plusieurs journalistes de Mediapart auraient eu "fait l'objet de curiosités policières hors de toute justification légale" à propos de leur patrimoine privé.
Un proche d'un ministre aurait confié à Medipart que le secrétaire général de l'Élysée lui-même, Claude Guéant, se chargerait personnellement de toutes ces enquêtes. Claude Guéant serait assisté dans cette tâche par "un ancien policier à la retraite". Ce dernier a toutefois démenti l'information à Mediapart.
L'Élysée aurait recours à une officine privé de sécurité et de renseignement gérée par des anciens des services secrets.
Le dessus de l'iceberg
En effet c'est la totalité des sites, blogs, forums, journaux, fanzines, radios... qui sont sous surveillance permanente.
Pire des officines sont utilisés en dehors des lois et c'est ce qui gêne les fonctionnaires les plus scrupuleux, les flics républicains.
Le Pied de l'iceberg
Le Parquet de Paris considère que l’irresponsabilité pénale dont jouit le chef de l’État «doit s’étendre aux actes effectués au nom de la présidence de la République par ses collaborateurs».
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