jeudi 28 janvier 2010

SUICIDE Mode d'Emploi


Mélenchon  la crapule n'aime pas la liberté:                                                                                                                                                                                                                                  
http://www.senat.fr/questions/base/1992/qSEQ920521232.html


 

Question écrite n° 21232 de  M. Jean-Luc Mélenchon   (Essonne - SOC)
  * publiée dans le JO Sénat du 14/05/1992 - page 1116
M. Jean-Luc Mélenchon attire l'attention de M. le garde des sceaux, ministre de la justice, sur les conditions d'application de la loi n° 87-1133 du 31 décembre 1987 donnant à la justice les moyens d'agir contre la provocation au suicide. Il lui demande où en sont les poursuites en cours concernant la réédition au quatrième trimestre 1989, de l'ouvrage  Suicide mode d'emploi , toujours diffusé et qui avait été à l'origine de nombreux suicides.
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Voila celui que l'on veut vous vendre comme Extrémiste Degooche...
Un Désinformateur en Service
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Suicide mode d'emploi circule en P2P sous forme d'un PDF récrit et cela fait flipper ses rédacteurs. Lire ici: http://claudeguillon.internetdown.org/
Cette version est accompagnée de la déclaration suivante:

AVIS AU LECTEUR :
CE DOCUMENT EST UNE TRANSCRIPTION LITTÉRALE DE L’OUVRAGE ORIGINAL DE CLAUDE GUILLON ET YVES LE BONNIEC : « SUICIDE, MODE D’EMPLOI : histoire, technique, actualité » paru en 1982.
Elle a été effectuée à partir d’un document PDF circulant sur le Web, lourd de 40 Mo ; le but premier de cette réécriture a été de l’alléger pour le rendre accessible au plus grand nombre, et faire de sa censure d’Etat – inacceptable – une publicité. A l’époque, l’anathème fut jeté sur cet ouvrage au prétexte qu’il fu parfois trouvé au chevet de suicidés ; les adolescents auraient été les premières victimes fragiles de ce texte sulfureux qui fournissait des recettes garantissant l’accès à une mort douce et propre. On n’a jamais su la portée réelle de la censure puisque, malgré tout, les suicides n’ont pas cessé, tant chez les adultes que chez les jeunes. La société s’est juste donné bonne conscience en refusant de laisser des « recettes » à la portée des suicidaires. En somme, si tu veux mourir, démerde-toi tout(e) seul(e), expérimente, la mort propre n’est pas pour toi. Sans doute estime-t-elle, cette société, que les exemples bien « gores » fournis par ceux qui se suicident par le feu, qui se jettent sous les trains ou dans le vide, se tirent une balle en pleine tête ou se pendent seront plus dissuasifs. La mort volontaire ne se conçoit socialement qu’en termes de souffrances ; peut-être qu’au tréfonds de l’inconscient collectif celles-ci rachètent-elles, en quelque sorte, un décès aussi « immoral » : la mort par le plaisir – ou le plaisir par la mort – n’est pas concevable. De surcroît, le suicidé renvoie la société face à elle-même, et elle déteste ça. Le texte ci-dessous est ABSOLUMENT CONFORME à l’original ; toutefois, la pagination a été modifiée - pour s’adapter à Word - et les renvois en bas de page « dé-numérotés » et remplacés par des astérisques. Enfin, la TABLE DES MATIÈRES a été rejetée à la fin. J’espère que MM. Guillon et Le Bonniec ne me tiendront pas rigueur d’avoir agi sans leur permission ; je suppose que le problème des droits ne se posent pas (ou plus) s’agissant d’un ouvrage qui n’est plus en circulation. Que l’on me pardonne les fautes de frappe ou autres qui auraient pu s’y glisser.

Le transcripteur.
                                                                                                     TEXTE INTÉGRAL.
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A coté du corps sans vie de Régine Labbey figurait un mot de sa main expliquant quelle mixture elle avait utilisé et le livre Suicide Mode d'Emploi.
Régine avait tout donné dans la Lutte contre le SIDA, dépressive elle avait quitté son emploi d'infirmière et perdu la garde de sa fille dont elle ne se remettait pas. Après une période d'errance dans le mauvais alcool des bars parisiens elle prit seule cette décision définitive et finalement personne ne fut en mesure de l'aider dans sa détresse en partie à cause des mêmes problèmes que rencontraient ses anciens(nes) camarades.
Comment vivre après une lutte aussi féroce...
Elle avait été la première à remarquer les affiches Cirque de Moscou que l'ACS diffusait dans Paris en 1986 pour rejeter les fantasmes de "Lutte Armée" et réaffirmer les bases du Projet Libertaire.

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