samedi 7 septembre 2019

Appel à se rendre vers les Champs-Élysées le samedi 7 septembre 2019, à 12h




Retour aux Champs-Élysées.

Le 21 septembre commence à être le sujet brûlant de cette rentrée. Mais les Gilets jaunes se mettent en jambe, avec comme premier épisode de cette nouvelle saison 2019/2020, un retour déterminé sur les environs des Champs-Élysées.

L’été touche à sa fin. Pas la lutte. C’est la rentrée des clashs. On prépare son cartable (masque à gaz, lunette, pot de peinture, fumigène) et on reprend la route de l’école de la vie !

Même si Macron en a marre, les GJ sont toujours là. Juillet et août n’ont en rien stoppé la mobilisation et la détermination. Loin de là. Les violences policières, les blessés et les morts, n’ont fait que renforcer la détermination et de nombreux GJ semblent décidés à reprendre la rue dès la rentrée.

Du côté de la lutte climatique, de nombreuses dates sont déjà posées pour le mois de septembre.

Le secteur public (santé, pompiers, éducation) reste fortement en colère face au délitement de l’engagement de l’État et au manque criant de moyen.

Alors pour ce samedi 7 septembre, premier « samedi » de la rentrée, soyons tous dans les rues de toutes les villes (et villages) de France pour se retrouver, chanter ensemble, crier ensemble, rire en semble… et préparer la riposte sociale.

Face à l’urgence climatique et sociale, face à la violence répressive du pouvoir, une seule solution : la solidarité et la détermination.

Des Gilets jaunes



Source
Communiqué des « Casseurs »


 Si nous brûlons des voitures ce n'est pas seulement par amour de l'écologie mais pour éclairer la laideur de votre monde.

Si nous cassons les banques c'est que nous avons reconnu l'argent comme cause centrale de tous nos malheurs.

Si nous cassons des vitrines ce n'est pas parce que la vie est chère mais parce que la marchandise nous empêche de vivre a tout prix.

Si nous cassons des machines ce n'est pas parce que nous voulons défendre l'emploi mais attaquer l'esclavage salarié.

Si nous sabotons des TGV c'est seulement dans les cauchemars du ministre de l'intérieur.

Si nous attaquons la racaille policière ce n'est pas pour la faire sortir de nos quartiers mais pour la faire sortir de notre vie.

Le spectacle a voulu nous voir redoutables, nous entendons bien être pire.




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