mardi 5 avril 2016

L'armée devant les lycées de banlieue


L'armée devant les lycées de banlieue


Comportement de putschistes:


Après les patrouilles motorisées (4 hommes armés) il-y-a quatre semaines ce sont désormais des pelotons d'infanterie (8 hommes armés à pied et sans l'encadrement pourtant obligatoire d'un OPJ) qui patrouillent devant les lycées comme dans le 94 (Lycée D'Arsonval 65 rue du Pont de Créteil vers 15h).
Au même moment ou presque des lycéens manifestant à Paris étaient embarqués sans ménagement et sans raison par centaines dans des rafles.
«J’ai pris deux coups de tonfa sur la tête», explique un étudiant en sociologie alors que du sang coule de son crâne.
Tabassage de Rue


Riposte obligatoire à Paris:

A l’unisson, la foule chante: «Tout le monde déteste la police.» Celle-ci s’infiltre parmi les manifestants à grands coups de matraques. Le cortège est scindé en deux. Au moment où le calme semble revenu, un groupe de jeunes déterminés fonce vers les forces de l’ordre en poussant des cris de guerriers dignes du film 300. La police est prise en étau. Elle réplique avec des gaz lacrymogènes avant de reculer.

Refus de soins aux manifestants.

« L’État de droit, censé nous protéger, tente de réprimer la contestation par la force, chargeant sa police de provoquer et de maltraiter les manifestants, et intimerait en plus maintenant aux services médicaux et d’urgences de ne pas porter assistance aux manifestants.
Sommes-nous toujours dans un État de droit ? »

Nuit Debout joue les prolongation et devient virale...
Le développement virale de Nuit Debout signifie que la population cherche une autre issue que celle offerte par le gouvernement.
Valls et Hollande sont caduc mais pas leurs polices.

Sous les pavés...

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