Le terreau du fascisme c'est la grande trahison de 1914. L'internationalisme prolétarien est jeté aux poubelles de l'Histoire et l'ensemble des clercs degoche livrent le prolétariat européen à la guerre nationaliste et impérialiste.
Le fascisme est le fruit empoisonné de cette trahison que complète avantageusement l'idéologie antifasciste décidée par Staline après l'échec du Classe contre Classe dénonçant (en partie) la trahison des sociaux-démocrates devenus des social-flics..
La ridicule version antifa* en service sous l’État-PS en France est une police politique au bénéfice exclusif des néo-conservateurs et de l’État Israélien. Dans un monde totalement fascisé le bisounours antifa combat les moulins que le spectacle met en scène en agitant quelques égarés de la droite extrême utilisés comme suppléants des polices ou comme milice du Gladio. Le cycle de l'usurpation est complet.
Le texte qui suit de PMO est excellent, dommage qu'il confonde encore Logiciel Libre (projet social du GNU) et trahison Open Source (au service du capitalisme de monopoles captifs)...
Le Corbusier et les architectes urbanistes
On sait que rien n’est plus galvaudé en France, aujourd’hui, que le
terme de « fasciste ». Cela tient au confusionnisme général ; aux
falsifications révisionnistes type Ni droite, ni gauche (Zeev Sternhell) et L’ idéologie française
(BHL) ; aux manipulations de la gauche d’État qui se drape dans la pose
avantageuse de la Résistance ; aux délires de convulsionnaires qui
s’arrogent le titre d’« antifascistes » et le privilège de frapper
d’infamie les gens qui contredisent leurs lubies.
Les mots « fascisme » et « fasciste » renvoient à un phénomène précis
et daté : des mouvements de masse militarisés, dans l’entre-deux
guerres, menés par des chefs charismatiques, mobilisant des idéologies
archaïques, religieuses ou païennes, et les technologies les plus
modernes, au service d’expansions nationalistes et futuristes.
Ce fascisme-là a toujours été minoritaire en France, même « aux
heures les plus sombres de notre histoire », à Vichy et sous Pétain. Les Quarante millions de pétainistes
(H. Amouroux) qui s’en remirent au vainqueur de Verdun entre juin 1940
et juin 1941, n’étaient pas des « fascistes », mais des orphelins en
quête d’un père de la Nation. Les vrais fascistes, les maigres milices
de Doriot, Déat, Deloncle qui déchaînèrent leurs exactions sous la botte
de l’occupant, n’ont laissé que des fantômes d’ héritiers, tout juste
bons à justifier un fantôme d’antifascisme. Aussi avons-nous toujours
employé avec des guillemets et parcimonie ce mot de « fascisme ». (cf. Postures et impostures : au Grand Guignol de la Gauche (leur « antifascisme » et le nôtre). Cf. Le vrai « fascisme » de notre temps. Bas les pattes devant Snowden, Manning, Assange et les résistants au techno-totalitarisme.)
Il se trouve que Le Corbusier fut un vrai fasciste, sans guillemets
ni repentir. A la fois dans ses opinions et ses amitiés. Il se trouve
que l’idéologue du modulor, de « l’homme standard » et de la « la
machine à habiter », fut le maître à construire des communistes, des
gaullistes, des dictateurs comme des démocrates, et de toute une
génération d’architectes urbanistes, en France et dans le monde, après
la défaite des fascismes. C’est que par-delà leurs guerres pour la prise
de l’État, fascistes, communistes, et républicains partageaient le même
idéal technocratique de l’urbanisme fonctionnaliste. Tous
s’inscrivaient avec ferveur dans ce mouvement techno-totalitaire :
l’homme-machine dans sa machine à habiter, dans une ville-machine, dans
un monde-machine. C’est qu’il ne suffit pas d’être antifasciste
(communiste, "blanquiste", trotskyste, stalinien, castriste, maoïste,
etc.) pour être antitotalitaire.
Hackers et « antifascistes », encore un effort pour être de votre temps. Il ne suffit pas de rabâcher la sempiternelle critique de la « gentrification », de l’éviction des habitants des quartiers populaires au profit de vos amis et congénères de la creative class (R. Florida), pour combattre les nouvelles Metropolis. En Chine, en Californie, comme à Nice, Paris et partout dans le monde voici la smart city,
la cité machine automatisée, la version 2.0 de la police urbanistique.
L’organisation optimale de l’ordre public. Mais cette « ville
intelligente » criblée de capteurs, traversée de « flux » , de
« réseaux », de « virtualités » innombrables, n’est-ce pas précisément
votre matrice adorée, et donc, comment pourriez-vous la brûler ?
- Ces salopes ANTIFA ne font que du "sociétal" c’est à cela qu'on les reconnaît. PMA, trans-mescouilles, VEGAN, anti-spécistes... un ensemble micro-sociétal destiné aux cadres névropathes- narcisses les plus serviles du capitalisme.
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