mercredi 15 avril 2015

«Prévention des atteintes à la forme républicaine des institutions»



Lorsqu'il ne reste que le choix des armes le désespoir n'a pas besoin de caution politique





Cette maxime nous paraissait encore un peu excessive a la fin des années 70 quant elle illustrait Matin d’un blues, un périodique de l’autonomie parisienne.
Elle colle désormais parfaitement aux jeunes révoltés que le spectacle nous vend comme Terroristes Jihadistes.
La caution religieuse remplace une caution politique impossible mais elle ne signifie rien au regard du besoin si urgent de se venger en frappant les symboles affichés de l’ignoble tyrannie sociale.


L’État français sent si mauvais depuis qu'il c'est aligné sur la pourriture du Djihadisme juif de Netanyahu que tout ce qui pense encore clairement menace de quitter le territoire.
La crispation est si forte que des dizaines de milliers d'emplois parmi les plus qualifiés de l’informatique s'installeront ailleurs que dans cette dictature aveugle qui demande aux entreprises de livrer leurs clients aux polices politiques.
Le kapital n'a pas de patrie mais les hommes non plus, il faut être un Boot People méditerranéen pour se donner une destination aussi nauséabonde que leur France.
L’État policier français est d'autant plus dangereux qu'il est un État larbin. Flics et militaires français sont les larbins des intérêts du duo Israël-USA via l'OTAN en particulier et jouent contre leur propre camp.
La nouvelle tartine de lois liberticides ne changera rien mais elle inquiète les acteurs du numérique. Une éradication des talents et un renforcement de l'armée des fonctionnaires gardes-chiourmes d'une prison "hyper-cacher" en temps réel.

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