dimanche 25 janvier 2015

L'Arnaque du 11 janvier 2015: Un Viol de la Foule !

L’Opinion Publique bernée !
Les 56 crapules n'ont jamais rien manifesté que leur désir de contrôler la foule des moutons décérébrés. Je suis Charlie, est une marchandise idéologique du Choc des Civilisation.

Cette conscience de soi totalement aliénée en Je suis Charlie n'est pas un simple mensonge ou une campagne de publicité. C'est un cri de guerre dirigé contre tout ce qui est différent du produit de l'instant sidéré par une peur qui ne se sait pas et se ment à elle-même: L'altérité, le singulier, le différent, le fou présumé, l'étranger, le musulman.
56 chefs d’État et de gouvernement se sont rassemblés dans une rue adjacente du cortège et ont posé quelques minutes devant les caméras avant de revenir chez eux. Sur la base de ces images truquées ils ont été présentés comme les leaders d’une manifestation à laquelle ils ne se sont jamais joints. La collusion de tous les médias est évidente.
Tout médiatique est un flic !

« Le délit de blasphème n’est pas dans notre droit et ne le sera jamais », avait déclaré Manuel Valls (ancien ministre de l’Intérieur... et des Cultes...) le 13 janvier devant l’Assemblée nationale.
L’article 166 du code pénal indique clairement que « celui qui aura causé un scandale en blasphémant publiquement contre Dieu [...] sera puni d’un emprisonnement de trois ans au plus ».
Le délit de blasphème existe dans cinq départements, les deux d’Alsace, celui de la Moselle, la Guyane et Mayotte. L’Alsace-Moselle relève toujours d’un droit spécifique local, hérité à la fois du Concordat signé avec l’Église par Bonaparte en 1802, et du code pénal allemand appliqué entre 1871 et 1918, lorsque ces territoires avaient été annexés par l’Allemagne. Il n’a pas été remis en cause une fois ces régions redevenue françaises mais seulement élargi à d’autres religions.

Curieuse coïncidence !
Les représentants des principaux cultes ont demandé le retrait de l'article de loi sur le délit de blasphème la veille de l’attentat contre Charlie Hebdo. Mais tant que le Parlement n’a pas abrogé cette disposition, elle existe toujours.
Il n’est bizarrement pas question d’abrogation en Guyane, qui vit sous un statut clérical d’exception au seul bénéfice de l’Église catholique depuis 1828. L’ordonnance royale qui instaurait ce statut était le fait du régime monarchiste réactionnaire qui avait succédé à la Révolution et à l’Empire.
Quant à l’île de Mayotte, devenue depuis 2011 le 101e département français et où 95 % de la population est musulmane, elle est régie par un compromis entre code civil et code coranique. Si le délit de blasphème n’a pas été utilisé, les tribunaux ont contourné le problème, en septembre 2014, en condamnant trois personnes du personnel militaire français, ivres, qui avaient déposé une tête de cochon devant une mosquée pour « violences psychologiques ».

Feu la république
L’islamophobie officielle, sociologie d’une peur d’État.

Victoire de l'Anti-terrorisme:  Un enfant de 8 ans au commissariat pour «apologie du terrorisme»
8 janvier 2015, au lendemain de la tuerie à Charlie Hebdo. Dans une école primaire de Nice, les élèves d'une classe de CE2 discutent du drame avec leur instituteur. «Êtes-vous Charlie ?», demande-t-il. Ahmed, 8 ans, répond que non. 
Pourquoi ? «Parce qu’ils ont caricaturé le prophète. Moi, je suis avec les terroristes.» Le prof alerte son directeur. Ce dernier décide de convoquer le gamin, puis ses parents, qui raisonnent leur rejeton. Mais il ne s’arrête pas là. Le 21 janvier, le directeur de cette école située dans le sud de la ville, dépose plainte au commissariat pour «apologie du terrorisme», selon l'avocat de la famille de l'enfant, Me Sefen Guez Guez.

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