Le Vrai visage de l’État Poutine
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| Non à la Guerre |
La crainte de l'OTAN et le crépuscule du KGB/FSB
Poutine a définitivement perdu l'Ukraine et finalement la bataille de Maïdan ne fait que confirmer la déclaration d'indépendance de 1991.
Dans l'accélération de cette crise les décisions à la hussarde de la Rada ont certainement heurté Poutine qui craint une remise en cause des traités et une humiliation des russophones. Cette Rada peu légitime devrait se contenter de préparer les futurs élections pour bétonner une nouvelle légitimité face aux Russes.
En attendant c'est l'ensemble de ses moyens policiers et militaires (Spetsnaz) que Poutine utilise comme on joue son va-tout. L’État Russe a choisi l'épreuve de force et cherche à déstabiliser son voisin ukrainien.
Ce sont ses groupes de tueurs et de saboteurs qui opèrent comme agents de déstabilisation.
Pour la Crimée c'est différent avec sa base de Sébastopol et une population majoritairement Russe c'est la seule région à statut spécial avec une autonomie locale.
La Russie contrôle déjà militairement la Crimée et les soldats sans insignes ne sont qu'une gesticulation pour couvrir les services spéciaux. Ce qui est réellement en jeu c'est le basculement du flanc sud de la Russie vers l'OTAN.
L’Europe n'est qu'une construction économique voulue par les USA et contrôlée depuis la seconde guerre mondiale par le bras armée USA/OTAN/GLADIO. Les Russes sont bien placés pour le savoir en tant qu'héritiers de l'URSS ils connaissent parfaitement les intentions des USA et c'est ce qu'ils refusent.
Si l'Europe politique existait comme force indépendante, zone tampon entre Russie et USA, les choses seraient différentes mais il n'en est rien et c'est bien une crise politico-militaire entre les USA et la Russie qui se développe.
Il ne fait aucun doute que l’État Russe est unanimement haïs par les peuples ex-URSS, ex-Pacte de Varsovie qui sont aux frontières mais aussi à l'intérieur des frontières Russes, le mérite de Maïdan est de forcer la Russie à montrer son vrai visage de tyran passéiste, une dictature fossilisée sur une domination territoriale qui date des Tsars.
Une Ukraine balkanisée aux frontières de la Russie n'apporterait que du chaos, un domaine ou les USA sont bien plus expérimentés que la Russie qui en serait déstabilisée et pourrait même perdre définitivement la Belarus.
Ces péripéties conduiront à un compromis avec les USA et ses dépendances européennes pour préciser les contours politico-militaires de l'Ukraine définitivement indépendante.
Malgré la répression tout azimuts en Russie (l'agression des Pussy en fait partie) un mouvement pour la paix se manifeste qui rappel la proximité entre les deux peuples et refuse un conflit fratricide.
Stratégiquement la flotte Russe est facilement blocable par l'OTAN dans les Détroits Turcs qui lui interdise un véritable accès libre aux océans par la mer Noire en cas de conflit majeur.
Dans l'accélération de cette crise les décisions à la hussarde de la Rada ont certainement heurté Poutine qui craint une remise en cause des traités et une humiliation des russophones. Cette Rada peu légitime devrait se contenter de préparer les futurs élections pour bétonner une nouvelle légitimité face aux Russes.
En attendant c'est l'ensemble de ses moyens policiers et militaires (Spetsnaz) que Poutine utilise comme on joue son va-tout. L’État Russe a choisi l'épreuve de force et cherche à déstabiliser son voisin ukrainien.
Ce sont ses groupes de tueurs et de saboteurs qui opèrent comme agents de déstabilisation.
Pour la Crimée c'est différent avec sa base de Sébastopol et une population majoritairement Russe c'est la seule région à statut spécial avec une autonomie locale.
La Russie contrôle déjà militairement la Crimée et les soldats sans insignes ne sont qu'une gesticulation pour couvrir les services spéciaux. Ce qui est réellement en jeu c'est le basculement du flanc sud de la Russie vers l'OTAN.
L’Europe n'est qu'une construction économique voulue par les USA et contrôlée depuis la seconde guerre mondiale par le bras armée USA/OTAN/GLADIO. Les Russes sont bien placés pour le savoir en tant qu'héritiers de l'URSS ils connaissent parfaitement les intentions des USA et c'est ce qu'ils refusent.
Si l'Europe politique existait comme force indépendante, zone tampon entre Russie et USA, les choses seraient différentes mais il n'en est rien et c'est bien une crise politico-militaire entre les USA et la Russie qui se développe.
Il ne fait aucun doute que l’État Russe est unanimement haïs par les peuples ex-URSS, ex-Pacte de Varsovie qui sont aux frontières mais aussi à l'intérieur des frontières Russes, le mérite de Maïdan est de forcer la Russie à montrer son vrai visage de tyran passéiste, une dictature fossilisée sur une domination territoriale qui date des Tsars.
Une Ukraine balkanisée aux frontières de la Russie n'apporterait que du chaos, un domaine ou les USA sont bien plus expérimentés que la Russie qui en serait déstabilisée et pourrait même perdre définitivement la Belarus.
Ces péripéties conduiront à un compromis avec les USA et ses dépendances européennes pour préciser les contours politico-militaires de l'Ukraine définitivement indépendante.
Malgré la répression tout azimuts en Russie (l'agression des Pussy en fait partie) un mouvement pour la paix se manifeste qui rappel la proximité entre les deux peuples et refuse un conflit fratricide.
Stratégiquement la flotte Russe est facilement blocable par l'OTAN dans les Détroits Turcs qui lui interdise un véritable accès libre aux océans par la mer Noire en cas de conflit majeur.
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