Kurz, Jappe
et leurs amis ramènent TOUT à leur obsession: La mécanique de la
Valeur capitaliste. Mécanique qui échappe au pouvoir des
riches (anciennement "Bourgeoisie" ou "Classe
Dominante ").
La découverte du Sujet Automate comme étant la seule et unique horloge de la valorisation capitaliste prouve que ce pouvoir leur échappe. Ils en sont les esclaves tout autant que le Prolétariat qui n'est que le produit de la valorisation capitaliste et pas une classe qui de toute éternité serait ontologiquement porteuse du dépassement du capitalisme par une révolution. Le prolétariat étant dans le système capitaliste un produit, un effet, il ne peut opérer en dehors du capitalisme, il n'est pas porteur du Projet révolutionnaire mais seulement une classe vouée à disparaître avec le système qui l'a créé, le capitalisme, dans le cadre d'un dépassement qui ne peut être qu'un projet pensé et voulue par l'intelligence active des humains.
La découverte du Sujet Automate comme étant la seule et unique horloge de la valorisation capitaliste prouve que ce pouvoir leur échappe. Ils en sont les esclaves tout autant que le Prolétariat qui n'est que le produit de la valorisation capitaliste et pas une classe qui de toute éternité serait ontologiquement porteuse du dépassement du capitalisme par une révolution. Le prolétariat étant dans le système capitaliste un produit, un effet, il ne peut opérer en dehors du capitalisme, il n'est pas porteur du Projet révolutionnaire mais seulement une classe vouée à disparaître avec le système qui l'a créé, le capitalisme, dans le cadre d'un dépassement qui ne peut être qu'un projet pensé et voulue par l'intelligence active des humains.
Nous sommes en parfait
accord avec cette analyse qui remet en cause les vieilleries
marxistes et anarchistes, le vieux rêve du 19e siècle d'une
émancipation sociale inéluctable par la prise en main du
capitalisme et un partage de ses fruits (empoisonnés).
Dès les années 70 le
vocable ouvrier de "Conseil ouvrier" par exemple
semblait décalé et ringardisé bien qu'il soit encore employé par
l'I.S. qui était pourtant la critique sociale la plus avancée
de ce temps.
La remise en cause de
l'ancien Projet Révolutionnaire et du rôle "Historique"
du prolétariat n'est en aucun cas un renoncement à l'émancipation
sociale et au dépassement du capitalisme. Pas plus qu'un abandon des
luttes sociales qui doivent au contraire redoubler dans cette période
d'effondrement de l'utopie capitaliste dans l’annihilation de toute
liberté et de toute vie. Nous somment contraint de lutter pour notre
survie de toute façon, raison de plus pour envisager la "Vraie
Vie" comme projet ici et maintenant, radicalement opposés à ce
monde d'esclaves et d'esclavage.
Mais à la différence
des marxiens Kurz, Jappe et Cie nous reconnaissons d'autres forces
agissantes que la valorisation dans le monde capitaliste ou nous
avons le malheur d'exister. Que le sujet automate soit la force
agissante principale dans le capitalisme ne veut nullement dire qu'il
n'y en a aucune autre. Si tel était le cas le nivellement
capitaliste serait le même partout, en Finlande comme au Gabon, en
Chine comme au Chili, en Papouasie comme en Belgique. D'autre forces
dominantes ou dominées interagissent avec la mécanique capitaliste
de la valeur. Si on ne peut reprocher (par exemple) à Mme
Bétancourt d’être à l'origine du mécanisme de la Valeur ont
peut lui reprocher d’être l'héritière du fondateur de la Cagoule
et à son empire capitaliste Loréal d'avoir été le
recycleur des Nazis et de leurs amis collaborateurs ce qui suffit
amplement à vouloir combattre le 1% criminel qui dirige non pas la
Valeur mais tout le reste. C'est bien ce 1% qui livre pieds et poings
liés l'humanité au cycle du sujet automate par la force de ses
polices.
Ce qui fait peur à Jappe
c'est que ceux qui luttent n'ont pas encore une pleine conscience des
secrets abstraits du capitalisme et comme ses précurseurs de
"L'école de Francfort" il est persuadé que cette
humanité agissante est forcément antisémite, raciste et si
imbécile qu'elle ne peut que provoquer une catastrophe (qui à déjà
eu lieux selon nous...).
Comme ils sont imbéciles leur raisonnement est nécessairement: 1% tous méchants contre 99% tous gentils, et un simple slogan tient forcément lieu de raisonnement manichéen complet, a-dialectique...
Comme ils sont imbéciles leur raisonnement est nécessairement: 1% tous méchants contre 99% tous gentils, et un simple slogan tient forcément lieu de raisonnement manichéen complet, a-dialectique...
Il ne dit rien des
diffuseurs de ces idées réactionnaires qui ont toujours été les
1% profitant des trahisons de la "Gauche" dès 1914 qu'ils
avaient massivement acheté comme garde chiourme complémentaire
avant de construire les fascismes, de les utiliser et de les liquider
une fois la fraction agitée du prolétariat définitivement liquidée
par la seconde guerre mondiale.
Écoutons l’esthète:
".../...Il est vrai que des approches comme la « décroissance
» se rendent compte qu’il nous faut changer de civilisation, pas
seulement de modèle économique. Le « capitalisme », ce n’est
pas seulement les « capitalistes », les banquiers et les riches,
tandis que « nous », le peuple, serions « bons ». Le capitalisme
est un système qui inclut tous, personne ne peut prétendre être
dehors. Le slogan « nous sommes les 99% » est assurément le plus
démagogique et le plus bête qu’on ait entendu depuis longtemps,
et il est potentiellement très dangereux.../..."
Il faut désormais
considérer Jappe comme la suite de l’École de Francfort qui a
puissamment servie la CIA après 1945 pour recycler les anciens
cadres Nazi au service du capitalisme libéral en RFA. Les États
salarient assez largement les gens comme Jappe pour former des
étudiants à ne surtout pas se révolter au prétexte qu'ils n'ont
pas une pleine connaissance de Marx, la dialectique hégélienne, les
relectures de Marx par Tartempion et pourquoi pas Debord...
Une petite tautologie en
passant pour conclure: "...Connaître les enjeux devient alors
central, et disposer d’une vision globale devient vital. Voilà
pourquoi une théorie sociale axée sur la critique des catégories
de base de la société marchande n’est pas un luxe théorique, qui
reste loin des préoccupations réelles et pratiques des êtres
humains qui luttent, mais une condition nécessaire de tout projet
d’émancipation."
Un luxe théorique...
Donc soyez sage et
arrivez à l’heure aux cours du Professor Jappe les Bisounours.
Seulement voilà, les autres ils préfèrent courir à la ZAD de NDDL
ou même pourrir dans un Goulag Russe comme Maria que de supporter
plus longtemps les discours soporifiques qui n'expérimentent rien.
Peut-on
s’émanciper du fétichisme ?
Le
concept marxien de « fétichisme de la marchandise » n’indique
pas seulement une mystification de la conscience, un « voile »,
comme on le croit souvent (et encore moins s’agit-il d’un goût
immodéré pour les marchandises). Il constitue un phénomène réel
: dans la société capitaliste, toute l’activité sociale se
présente sous forme de valeur et marchandise, de travail abstrait et
d’argent. Le terme « fétichisme », que Marx a emprunté avec
ironie à l’ethnologie et à la critique de la religion, est très
approprié. Comme les prétendus « sauvages », même les membres de
la société marchande projettent leurs pouvoirs sociaux sur des
objets inanimés dont ils croient ensuite dépendre. Personne ne l’a
jamais décidé : ce fétichisme s’est constitué « dans le dos »
des participants, de manière inconsciente et collective, et il a
toutes les apparences d’une évidence naturelle et transhistorique.
Le fétichisme de la marchandise existe là où il existe une double
nature de la marchandise et où la valeur marchande, qui est créée
par le côté abstrait du travail et représentée par l’argent,
forme le lien social et décide donc du destin des produits et des
hommes, tandis que la production de valeurs d’usage n’est qu’une
espèce de conséquence secondaire, presque un mal nécessaire. (J’ai
dit « côté abstrait du travail », parce que c’est plus clair
que « travail abstrait » : en effet chaque travail, dans un régime
capitaliste, possède un côté abstrait et un côté concret, ce ne
sont pas deux genres distincts de travail.)
Marx
appelle la valeur le « sujet automate » : c’est la valorisation
de la valeur, en tant que travail mort, à travers l’absorption de
travail vivant, et son accumulation en capital, qui gouvernent la
société capitaliste, en réduisant les acteurs sociaux à de
simples rouages de ce mécanisme. Selon Marx, les capitalistes
eux-mêmes ne sont que les « sous-officiers du capital ». La
propriété privée des moyens de production et l’exploitation des
salariés, la domination d’un groupe social sur un autre et la
lutte des classes, tout en étant bien réelles, ne sont que les
formes concrètes, les phénomènes visibles en surface, de ce
processus plus profond qu’est la réduction de la vie sociale à la
création de valeur marchande. Marx a saisi cette situation, qui est
historiquement unique et en rupture totale avec des formes
précédentes de société à de nombreux égards, avec le terme de «
fétichisme de la marchandise » - qui présente d’ailleurs
l’avantage d’indiquer en même temps que le capitalisme fait
quand même partie de l’histoire des constitutions inconscientes de
l’humanité et qu’il est tout aussi « irrationnel » que les
systèmes religieux précédents.
Mais cela
veut aussi dire que la plupart des antagonismes sociaux dans la
société marchande ne concernent plus l’existence même de ces
catégories. Déjà au XIXe siècle, le mouvement ouvrier s’était
cantonné, après des résistances initiales, à demander une autre
répartition de la valeur et de l’argent entre ceux qui contribuent
à la création de valeur à travers le travail abstrait. Presque
tous les mouvements contestant le capitalisme – disons, la «
gauche » - ne considéraient plus la valeur et l’argent, la
marchandise et le travail abstrait comme des données négatives et
destructrices, typiques du seul capitalisme, qui doivent donc être
abolies dans une société post-capitaliste. Ils voulaient simplement
les redistribuer selon les critères d’une meilleure justice
sociale. Dans les pays du socialisme réel, on prétendait en outre
pouvoir « planifier » d’une manière consciente ces catégories,
bien qu’elles fussent par essence fétichistes et inconscientes.
Une fois que la « lutte des classes » fut devenue dans la pratique,
rhétorique mise à part, un combat pour l’intégration des
ouvriers dans la société marchande, et ensuite pour l’intégration
ou la « reconnaissance » d’autres groupes sociaux, on ne
combattait que pour ajuster des détails. D’ailleurs, ce genre de
luttes a souvent aidé, sans que ses acteurs s’en rendent compte,
le capital a atteindre son prochain stade, contre la volonté de la
partie la plus bornée des propriétaires du capital. Ainsi, la
consommation de masse dans l’époque fordiste et l’État social,
loin d’être seulement des « conquêtes » des syndicats, ont
permis au capitalisme une expansion externe et interne qui l’aidait
à compenser la chute continuelle de la masse de profit.
En effet,
la contradiction majeure du capitalisme n’est pas le conflit entre
le capital et le travail salarié – du point du vue du
fonctionnement du capital, le conflit entre capitalistes et salariés
est un conflit entre les porteurs vivants du capital fixe et les
porteurs vivants du capital variable, donc un conflit immanent à ce
même système. La contradiction majeure réside plutôt dans le fait
que l’accumulation de capital sape inévitablement ses propres
bases : il n’y a que le travail vivant qui crée la valeur. Les
machines n’ajoutent pas de la valeur nouvelle. La concurrence
pousse cependant chaque propriétaire de capital à utiliser le plus
de technologie possible pour produire (et donc pour vendre) à
meilleur marché. En augmentant son propre profit dans l’immédiat,
chaque capitaliste contribue, sans le vouloir, sans le savoir et sans
pouvoir l’empêcher, à diminuer la masse globale de valeur, et
donc de survaleur, et donc de profit. Pendant longtemps, l’expansion
interne et externe du capital a pu compenser la diminution de la
valeur de chaque marchandise particulière. Mais avec la révolution
micro-électronique, donc à partir des années 1970, la diminution
de la valeur a continué à un tel rythme que rien n’a pu
l’enrayer. L’accumulation de capital survit depuis lors
essentiellement sous forme de simulation : crédit et spéculation,
c’est-à-dire argent fictif (donc argent qui n’est pas le
résultat d’une valorisation réussie à travers l’utilisation de
la force de travail). Aujourd’hui, il est à la mode d’attribuer
la faute de toute la crise et de ses conséquences à la spéculation
financière : mais sans elle, la crise serait arrivée beaucoup plus
tôt.
Une
grande partie de la pensée qui se prétend aujourd’hui
anti-capitaliste, émancipatrice, etc., refuse obstinément de
prendre acte de cette nouvelle situation. Les « luttes des classes »
au sens traditionnel, et celles qui les ont remplacées au cours du
XXe siècle (les luttes des « subalternes » de tout genre, des
femmes, des populations colonisées, des travailleurs précaires,
etc.) sont plutôt des conflits « immanents », qui ne portent pas
au-delà de la logique de la valeur. Au moment où le développement
du capitalisme semble avoir atteint ses limites historiques, ces
luttes risquent souvent de se borner à la défense du statu quo et à
la recherche de meilleures conditions de survie pour soi-même au
milieu de la crise. Cela est parfaitement légitime, mais défendre
son salaire ou sa retraite ne conduit pas du tout, en soi, au-delà
d’une logique où tout est soumis au principe de « rentabilité »,
où l’argent constitue la médiation sociale universelle et où la
production même des choses les plus importantes peut être
abandonnée si elle ne se traduit pas en assez de « valeur » (et
donc de profit). Moins que jamais il est sensé de demander des «
mesures pour l’emploi » ou de défendre les « travailleurs »
pour la raison qu’ils « créent de la valeur ». Il faut plutôt
défendre le droit de chacun à vivre et à participer aux bénéfices
de la société, même s’il ou elle n’a pas réussi à vendre sa
force de travail.
Ce dont
il faudrait s’émanciper, ce sont l’argent et la marchandise, le
travail et la valeur, le capital et l’État en tant que tels. On ne
peut plus jouer un de ces facteurs contre l’autre, en le
considérant comme le pôle positif : ni l’État contre le capital,
ni le travail abstrait à son stade mort (capital) contre le même
travail abstrait à son stade vivant (force de travail, donc
salaire). Il semble pourtant difficile d’attribuer la tâche de
dépasser le système fétichiste à des groupes qui ont été
constitués par le développement de la marchandise même et qui se
définissent par leur rôle dans la production de valeur.
Dans les
années 1960 et 1970, les mouvements de protestation étaient souvent
dirigés contre la réussite du capitalisme, contre l’ « abondance
marchande », et s’exprimaient au nom d’une autre conception de
la vie. Les luttes sociales et économiques d’aujourd’hui se
caractérisent, au contraire, souvent par le désir que le
capitalisme respecte au moins ses propres promesses. Plutôt que d’un
anti-capitalisme, il s’agit alors d’un alter-capitalisme.
On
comprend ainsi les limites des discours sur la « démocratie directe
» et l’ « autogestion » ouvrière (ou autre). La démocratie
n’est pas du tout incompatible avec le capitalisme. Au-delà d’un
usage emphatique du mot, ses formes historiquement réelles n’ont
pas été arrachées par des luttes populaires à un capitalisme
récalcitrant. Une fois que les formes fétichistes ont été
suffisamment intériorisées par la grande majorité de la
population, la démocratie constitue la forme de domination la moins
coûteuse : les sujets démocratiques appliquent alors spontanément
et contre eux-mêmes les « nécessités économiques », les « lois
de la réalité », les « impératifs technologiques », les «
attentes des marchés » etc. De même, une usine gérée très
démocratiquement par les ouvriers y travaillant reste, dans le cadre
d’une société qui continue à fonctionner selon le marché,
condamnée à engendrer des profits à travers du travail abstrait,
etc. Ses membres pourraient même, toujours très démocratiquement,
décider de licencier une partie d’entre eux pour baisser les coûts
et survivre sur le marché… D’ailleurs, il ne serait pas
impossible, au moins théoriquement, que toutes les entreprises
soient gérées sous forme d’ « actionnariat populaire ». C’est
le capital qui règne, non les capitalistes, et le capital peut aussi
avoir pour administrateurs ses propres salariés qui suivent ses lois
pseudo-objectives.
Dans la
problématique écologique semble se poser un peu plus la question du
sens de l’ensemble. Cependant, le manque d’une vision globale
fait glisser les écologistes rapidement vers des propos de gestion
alternative du capitalisme. Vouloir se débarrasser de la
colonisation de nos cerveaux à travers le rejet de la publicité et
de la tyrannie technologique est également assez important, mais on
risque de rester sur la défensive, et de se limiter à une sphère
particulière. Il est vrai que des approches comme la « décroissance
» se rendent compte qu’il nous faut changer de civilisation, pas
seulement de modèle économique. Le « capitalisme », ce n’est
pas seulement les « capitalistes », les banquiers et les riches,
tandis que « nous », le peuple, serions « bons ». Le capitalisme
est un système qui inclut tous, personne ne peut prétendre être
dehors. Le slogan « nous sommes les 99% » est assurément le plus
démagogique et le plus bête qu’on ait entendu depuis longtemps,
et il est potentiellement très dangereux.
Mais
c’est aussi un système qui travaille à son propre effondrement,
qui ne peut pas satisfaire les besoins humains, qui nous prépare des
catastrophes toujours plus graves et des conditions de vie
insupportables. Il condamne l’humanité à renoncer à faire un
usage raisonnable de ses ressources, et à les gaspiller pour
sauvegarder la valorisation de la valeur. Ce qui le condamne n’est
pas le simple fait d’être mauvais, parce que les sociétés
précédentes l’étaient également ; c’est sa dynamique propre
qui l’a poussé dans le mur.
En
vérité, on a souvent l’impression qu’à peu près tout le monde
en désire la poursuite, pas seulement les « gagnants ». Être
exploité devient presque un privilège (que les restes du vieux
prolétariat d’usine en Europe défend effectivement bec et ongles)
quand le capitalisme transforme toujours plus de personnes en «
hommes superflus », en « déchets ». Mais les chocs conjoints de
la crise économique, de la crise écologique et de la crise
énergétique obligeront bientôt à prendre des décisions
drastiques. Personne ne garantira cependant que ce seront les bonnes
décisions. La crise n’est plus synonyme d’émancipation, loin de
là. Connaître les enjeux devient alors central, et disposer d’une
vision globale devient vital. Voilà pourquoi une théorie sociale
axée sur la critique des catégories de base de la société
marchande n’est pas un luxe théorique, qui reste loin des
préoccupations réelles et pratiques des êtres humains qui luttent,
mais une condition nécessaire de tout projet d’émancipation.
Anselm Jappe
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