vendredi 14 septembre 2012

Le castrateur des banlieues françaises

Le castrateur des banlieues françaises récompensé:

Officiellement et médiatiquement imposé par la gauche cagoularde au début des années 80 pour jouer au ping-pong avec l'ancien  "fuhrer d'Assas" relooké FN et relancé électoralement par l'opportune lois électorale proportionnelle de F Mitterrand. Son véritable emploi fut de casser le "Mouvement des Banlieues" qui se cherchait dans la Marche des beurs née dans les cités de la région lyonnaise (Minguettes).
Son SOS Racisme édulcoré servira l’État en noyant le poisson dans de grande fêtes officielles aussi spontanées que la gestion des rues de Paris vu de la Préfecture de Police.
Harlem Dèsir reste l'un des hommes les plus haïs dans les banlieues ou les cadres de SOS deviendront les nouveaux rééducateurs et gardes-chiourmes des cités.
Il faut être raciste comme un journaliste anglais pour voir en lui un "Leader Noir":
 " ...Le Daily Telegraph, quotidien conservateur, souligne en effet que c’est la première fois qu’un leader noir accède à la tête d’un parti politique important en Europe..."

L’apparatchik professionnel complète parfaitement la présidence de François Hollande, la succession de Tonton est au pouvoir.

La Marche des Beurs : un bilan amer...

"Soucieux de rester en phase avec la jeunesse, les responsables politiques de gauche tissent autant de liens qu'ils le peuvent avec les nombreuses associations nées dans l'effervescence de la mobilisation. Jusqu'à confisquer le mouvement, en imposant l'hégémonie de SOS-Racisme dans l'espace public."

En 1998, M. Désir a écopé de dix-huit mois de prison avec sursis et 30 000 francs d'amende pour "recel d'abus de confiance ". En cause, son emploi fictif comme formateur dans une association lilloise entre novembre 1986 et octobre 1987, alors que l'actuel n° 1 du Parti socialiste occupait la présidence de SOS-Racisme.

DOUCE FRANCE La Saga du Mouvement Beur 

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