lundi 19 mars 2012

Toulouse, Montauban, des Crimes d’État nécessairement

Seuls les États ont les moyens de fournir une telle logistique à de tels professionnels du terrorisme.  C'est donc du coté de la politique internationale et nationale  des États que se trouvent les vraies raisons de ces meurtres. 
Dans le passé des relations conflictuelles avec les régimes libyens, iraniens et syriens ou algériens et pakistanais étaient à l'origine de nombreux attentats en France, toujours attribués à des sous-fifres et jamais révélés pour ce qu'ils étaient réellement. L'exploitation médiatique de ces nouveaux crimes à tout juste commencé et favorise le pouvoir en place dans ses noirs dessins de se maintenir à tout prix au sommet de l’État français. 
Toutes questions et toutes critiques seront assimilés à des actes de terrorisme et ce bref texte en est déjà un. La suspensions de la campagne électorale conduit tout droit à une réélection triomphale de Sarkozy et sa clique. La participation à cette mascarade électorale vient d'augmenter subitement d'au moins 20%...
La variétés des cibles choisies par le tueur présumé ne peut bénéficier qu'au pouvoir en place:
Jeunes, lycéens mais d'élite, enseignants, parents d’élèves, enfants, militaires professionnels, parachutistes, maghrébins, antillais, arabes, kabyles, juifs, français, israéliens...
Le "panel" est complet et en seulement quelques crimes.
Le tout en pleine grève du zèle de la DCRI.
La préparation d'une attaque israélienne sur les équipements nucléaires iraniens avant la fin de l'été pourrait être une des raisons de ces actes qui ont visé des soldats français et des binationaux Israélo-français. En effet la mort de 4 citoyens Israéliens dans ces circonstances troubles rend l’État français redevable pour échapper aux critiques parfaitement fondées des responsables de l’État hébreux.
Dans tous les cas le tueur présumé a gagné 4 jours. Son premier crime n'ayant pas été pris au sérieux par les polices qui pensaient avoir affaire à un banal règlement de compte attribué à des micro-délinquants comme le détail l'extrait d'article plus bas.
Une telle maîtrise de la terreur donne le vertige.
Épilogue de la manipulation

Comme avant lui Khaled Kelkal  (« Finis-le, finis-le ») et l'informaticien HB  Érick Schmitt (armes factices, explosifs factices mais mort réelle pendant son sommeil) lors de l'affaire de la "Maternelle de Neuilly", Mohamed Merah devait mourir et comme HB le deuxième jour. 
Pas de GIGN (trop pacifistes, trop professionnels et sans doutes pas assez contrôlés par les réseaux ad Hoc du pouvoir, voir le film de Mathieu Kassovitz, L'ordre et La Morale) mais l’inoxydable RAID, mieux en mains comme 11e choc policier aux ordres de l'Intérieur depuis sa création par Charles Pasqua, l'ancien mentor de Sarkozy. Un autre choix pouvait être  les soutiers du GIPN comme pour Kelkal. 
Vivants ces hommes auraient témoigné et les fils blancs de leur manipulation seraient  devenus visibles. 
Merah affirmait dans ses déclarations qu'il n'avait pas choisi cette période d'élection présidentielle comme timing pour passer à l'acte mais qu'elle c'était imposée par l'arrivée des moyens dont il avait besoin pour exécuter sa mission. Heureux hasard pour un solitaire sans complices...
Voici quelques Fils Blancs bien apparents:  Les 2 premiers échecs grossiers du RAID dénoncés dans la presse par d'anciens professionnels.
Le temps anormalement long pour résoudre quelques N°IP locaux (6 morts de plus ) et les déclarations des voisins de Merah sur son caractère pathologique et ses excès incroyablement repérables par le dernier des garde-champêtres...



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