Les enquêteurs qui ont contrôlé la qualité de l'air au World Trade Center, après les attentats du 11 Septembre, ont trouvé des niveaux extrêmement élevés de composés organiques volatiles ainsi que des produits inhabituels qui n'avaient jamais été vus auparavant dans ce type d'incendie…
Résumé: Les enquêteurs qui ont contrôlé la qualité de l’air au World Trade Center, après les attentats du 11 Septembre, ont trouvé des niveaux extrêmement élevés de composés organiques volatiles ainsi que des produits inhabituels qui n’avaient jamais été vus auparavant dans ce type d’incendie. Les données collectées par l’US Environmental Protection Agency (EPA) mettent en valeur de fortes pointes dans les niveaux de benzène, de styrène et de plusieurs autres produits de combustion. Ces pics ont eu lieu à des dates précises en octobre et novembre 2001 et février 2002. En outre, les données recueillies par les chercheurs de l’Université Davis de Californie ont montré des pointes dans les niveaux de soufre et de composés de silicium, et de certains métaux, dans les aérosols. Pour mieux expliquer ces données, ainsi que la détection inhabituelle de 1,3-diphenylpropane, la présence de nanocomposites énergétiques dans les débris de Ground Zero est prise comme hypothèse.
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