mardi 19 juillet 2011

Operation Green Rights


Anonymous a décidé de s’en prendre aux géants de l’énergie qui causent du tort à la planète. Enel a été la cible d’une attaque DDOS et a été indisponible aujourd’hui. General Electric a aussi fait les frais d’une attaque DDOS avant Enel. La prochaine cible est EDF. Anonymous a décidé de lancer cette opération après l’explosion de la centrale de Fukushima pour pointer du doigt les responsabilités des géants de l’énergie dans la conservation de l’environnement:

Les énormes limites de la technologie et de la science constatées dans le cadre des évènements dramatiques de Fukushima suite au tremblement de terre désastreux, confirment la nécessité de changer le modèle de développement global en investissant davantage dans la recherche et la connaissance.
 Aussi, depuis l’aube de ce drame nous sommes aussi en droit d’espérer certaines contributions majeures de la part de la communauté scientifique mondiale. En effet, ces dernières semaines, de nombreux chercheurs à travers le monde ont animé de nombreux débats avec beaucoup d’application une fois de plus, afin de démontrer l’extrême richesse de notre extraordinaire planète, malheureusement humiliée et souillée par des politiques d’investissements aveuglées ces dernières années par la course au profit.
 Nous avons besoin de plus d’efficacité dans notre action de défense de la nature, et le signifier fermement aux  grandes institutions étatiques en attaquant ces dernières ; notamment le conglomérat nommé Ritem demeure certainement l’arme la plus importante dans les mains des partisans de l’immobilisme absolu. Nous savons que nous avons les moyens de mettre en place une politique énergétique propre et mondiale à l’échelle de la planète. Nous savons également que ce n’est pas dans l’intérêt des lobbys et des Etats, dont les comptes en banques ne peuvent se passer des pétrodollars.
 Or aujourd’hui, la science s’occupe aussi bien de l’énergie, que de sa production et jusqu’à sa distribution (dont nous savons à quel point elle est impactante pour le sort de la planète).
L’objectif est de rappeler à la Communauté Scientifique qu’elle détient entre ses mains le fruit de milliers d’années de travail collaboratif et de découvertes personnelles et collectives et qu’elle se doit par conséquent de mettre son travail au service de l’Humanité. Cela implique qu’elle place l’éthique bien avant le besoin de rentabiliser les investissements de ceux qui l’emploie dans l’ordre de ses priorités. Jusqu’ici les chercheurs et inventeurs, hésitent encore souvent à perturber leur carrière, en se rendant par-delà complices de la régression de la qualité de vie de la planète…Et donc des gens la peuplant eux-mêmes.
Nous voulons croire que la communauté scientifique est déjà détentrice des solutions répondant aux problèmes énergétiques majeurs auxquels le monde est aujourd’hui confronté ; nous voulons croire qu’avec elle, nous battrons les puissantes multinationales de l’énergie non contrôlée et dangereuse mise à mal à Fukushima. Nous voulons croire que les impératifs financiers ne prendront plus le pas sur les impératifs humains.
L’attaque contre General Electric s’explique par la participation de cette dernière à la construction de la centrale de Fukushima:
Nous savons que le réacteur utilisé à Fukushima était de type Mark 1, fabriqué par General Electric. Dale G. Brindenbaug et d’autres ingénieurs ont construits le réacteur Mark 1, mais nous savons que Dale G. Brindenbaugh et deux de ses collèges à General Electric (GE) ont quittés leur travail après être de plus en plus convaincus que le réacteur nucléaire Mark 1 n’était pas capable de supporter l’immense pression qui résulterait d’une perte de pouvoir de refroidissement du réacteur. Le désastre
Les énormes limites de la technologie et de la science constatées dans le cadre des évènements dramatiques de Fukushima suite au tremblement de terre désastreux, confirment la nécessité de changer le modèle de développement global en investissant davantage dans la recherche et la connaissance.
 Aussi, depuis l’aube de ce drame nous sommes aussi en droit d’espérer certaines contributions majeures de la part de la communauté scientifique mondiale. En effet, ces dernières semaines, de nombreux chercheurs à travers le monde ont animé de nombreux débats avec beaucoup d’application une fois de plus, afin de démontrer l’extrême richesse de notre extraordinaire planète, malheureusement humiliée et souillée par des politiques d’investissements aveuglées ces dernières années par la course au profit.
 Nous avons besoin de plus d’efficacité dans notre action de défense de la nature, et le signifier fermement aux  grandes institutions étatiques en attaquant ces dernières ; notamment le conglomérat nommé Ritem demeure certainement l’arme la plus importante dans les mains des partisans de l’immobilisme absolu. Nous savons que nous avons les moyens de mettre en place une politique énergétique propre et mondiale à l’échelle de la planète. Nous savons également que ce n’est pas dans l’intérêt des lobbys et des Etats, dont les comptes en banques ne peuvent se passer des pétrodollars.
 Or aujourd’hui, la science s’occupe aussi bien de l’énergie, que de sa production et jusqu’à sa distribution (dont nous savons à quel point elle est impactante pour le sort de la planète).
 L’objectif est de rappeler à la Communauté Scientifique qu’elle détient entre ses mains le fruit de milliers d’années de travail collaboratif et de découvertes personnelles et collectives et qu’elle se doit par conséquent de mettre son travail au service de l’Humanité. Cela implique qu’elle place l’éthique bien avant le besoin de rentabiliser les investissements de ceux qui l’emploie dans l’ordre de ses priorités.
Jusqu’ici les chercheurs et inventeurs, hésitent encore souvent à perturber leur carrière, en se rendant par-delà complices de la régression de la qualité de vie de la planète…Et donc des gens la peuplant eux-mêmes.
 Nous voulons croire que la communauté scientifique est déjà détentrice des solutions répondant aux problèmes énergétiques majeurs auxquels le monde est aujourd’hui confronté ; nous voulons croire qu’avec elle, nous battrons les puissantes multinationales de l’énergie non contrôlée et dangereuse mise à mal à Fukushima. Nous voulons croire que les impératifs financiers ne prendront plus le pas sur les impératifs humains.
Les critiques adressées par enel sont propres à l’Italie qui a une situation particulière:
En 1987, soit un an après la catastrophe de Tchernobyl (Ukraine), il fut décidé par référendum de la sortie du nucléaire civil en Italie. Les quatre centrales nucléaires présentes en Italie furent arrêtées, la dernière en 1990.
Un moratoire sur la construction de nouvelles centrales, initialement voté de 1987 à 1993, a depuis été prolongé indéfiniment.
L’Italie importe de l’électricité nucléaire (notamment de France), et la société italienne Enel SPA investit dans la construction de réacteurs nucléaires en France et en Slovaquie, ainsi qu’au développement de la technologie de l’EPR.
En mai 2008, le nouveau gouvernement de Silvio Berlusconi a annoncé le retour à l’énergie nucléaire dans les cinq ans. Le gouvernement italien se propose de poser la première pierre d’un premier EPR d’ici à 2013, pour une mise en service en 2018.

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