Plus la police entrave le trafic, plus les impayés de loyers auraient tendance à grimper dans les quartiers dit "sensibles".
À mesure que la pression policière contre les trafics s'accentue, les offices HLM rencontreraient des difficultés à encaisser les loyers dans les quartiers pauvres. Comme si les liquidités ne circulaient plus comme avant chez certains locataires. Le phénomène aurait notamment été observé en Seine-Saint-Denis. Les policiers y voit «une conséquence directement imputable au succès éblouissant des opérations antidrogue», conduites sous l'autorité du préfet du département, Christian Lambert (starlette a face de Bull-terrier). Un haut fonctionnaire à la préfecture évoque même une baisse des encaissements de loyers de 40% sur certains groupes d'immeubles de La Courneuve, particulièrement ciblée par les opérations de police. Quel avantage incroyable !
Payant cher des logements sans valeur et mal construits volontairement pour les parquer loin des villes, les habitants ne peuvent plus faire face au racket publique des pompes-a-fric HLM.
«Il serait facile de conclure que l'argent de la drogue sert à payer le loyer d'une partie des familles en difficulté, mais on peut naturellement se poser la question», estime le capitaine Vuillermet, dans une revue pseudo-syndicale.
«l'imbrication entre l'argent sale et le système légal peut être forte dans certains quartiers». Si étroite que l'État doit agir avec discernement, s'il ne veut pas trop perturber l'économie locale....
Ouaffffff
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