Une figure "totémique"
La question était comment finir cette saga de manière utile a l'équipe Obama. Clore spectaculairement 15 années de mensonges c'est l'annonce qu'on en prépare d'autres.
La question était comment finir cette saga de manière utile a l'équipe Obama. Clore spectaculairement 15 années de mensonges c'est l'annonce qu'on en prépare d'autres.
Oussama Ben Laden né en 1957 à Riyad, d'une mère syrienne, Alia Ghanem, l'une des multiples épouses de Mohammed Ben Laden, ancien maçon d'origine yéménite, naturalisé saoudien après être devenu, grâce à un sens aigu des affaires, le principal entrepreneur du bâtiment et des travaux publics dans le royaume wahabite, terre de prospérité et d'immigration économique. C'est en tout cas sa biographie officielle imposée par la CIA avant le 11 septembre.
Ben Laden était la principale icône médiatique censée justifier la politique extérieure des USA de la "Guerre au Terrorisme", "Contreterrorisme", "Antiterrorisme", comme politique internationale. Bush avait proclamé la croisade du "bien contre le mal" un scénario simpliste comme en raffolent les tarés qui peuplent ce pauvre pays.
Ce sont les révolutions Arabes qui obligent Obama à mettre en place une nouvelle politique en se débarrassant de la vedette inutile. Aucune vérité ne sortira des images et déclarations mensongères des dirigeants du monde du spectacle.
Pendant ce temps là en Israël:
Des milliers d’Israéliens ont défilé la semaine dernière dans un quartier de Tel-Aviv peuplé d’immigrés d’Afrique noire pour exiger du gouvernement l’expulsion immédiate de ces derniers. Des Philippins ont, eux aussi, été pris à partie, aux cris de « Négros voleurs et violeurs ! », « Négros criminels, dehors ! » ou « Israël n’est pas une poubelle ! »
"Les manifestants, qui brandissaient des pancartes portant les mêmes revendications, ont pris à partie tous les vendeurs de rue à la peau noire qu’ils rencontraient sur leur passage.
Ni la presse occidentale, ni les belles âmes sionistes, donneuses de leçons du genre Bernard Henri-Lévy ou Alain Finkielkraut, n’ont élevé la moindre protestation contre cette agression à caractère ostensiblement raciste. Barack Obama non plus !
Ce qui est tout de même étrange puisque lui, l’allié fidèle d’Israël, celui qui, après Bush, couvre toutes leurs exactions, se serait vu aussi menacé d’expulsion étant donné sa couleur.
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