samedi 13 février 2010

L’Identité française et L'Empoisonnement

samedi 13 février 2010 par Deborah Baker 
( Mal traduit de l'anglais of course - 3 possibilités pour cette  femme: 
1 - elle est dingue - Cela confirme que ce monde rend fou
2-  elle dit vrai - Mais a des difficultés a s'exprimer
3 - elle exagère des ennuis réels de surveillance
La troisième hypothèse nous séduit: Une activiste débutante qui pète les plombs car déjà sujet sensible et peu équilibré...
Laissons lui la parole. 
L’Identité française

Imaginez-vous un scénario ainsi. La CIA a au coeur le programme du Nouvel ordre mondial. Ce programme est anti-humain et anti-terre. Le travail de la CIA est de détruire des gens est des organisations qui se renforcent des liens humains et des liens de la vie à la terre. La CIA est une des plus puissantes organisations du monde. Les vrais dirigeants de la France, aussi des promoteurs du Nouvel ordre mondial, veulent être en activité au même niveau où se trouve la CIA. Leur initiation : montrer leur puissance en assassinant un innocent, quelqu’un qui s’occupe de la justice sociale, sans être aperçu comme des meurtriers. Le démenti plausible est la tactique numéro un de la CIA.
Bonjour ! Nous ne nous reconnaissons pas encore. Je suis une demandeuse d’asile politique américaine. J’habite à Paris depuis avril 2007. Il n’existe pas encore un site internet d’indymedia  Paris. J’écris donc à vous ! Hello !
J’ai fui les États-Unis parce que j’étais empoisonnée. J’étais enseignante d’anglais aux immigrés et j’étais activiste. L’empoisonnement s’agissait sans doute de mon militantisme.
Le 17 novembre 2005, le premier jour où j’ai été empoisonnée, a été le jour où j’ai organisé une soirée avec une célèbre activiste antinucléaire, Dr. Helen Caldicott. Elle a annulé la soirée, mais j’ai été empoisonnée ce soir, comme une analyse de cheveux montre, avec des métaux lourds qui sont utilisés dans l’industrie nucléaire (uranium, strontium, cadmium, nickel, plomb...).
La direction d’une usine d’enrichissement d’uranium dans l’Ohio, ou j’habitais, voulait que l’usine rouvre. Pendant que quelques activistes, mois inclus, posaient des questions sur l’usine, on a appris qu’une activité illégale avait lieu dans l’usine. Auparavant, j’ai diffusé l’information qu’il paraissait que quelques-uns au sein du gouvernement américain étaient impliqués dans les attaques du 11 septembre 2001. Avec la nouvelle de l’activité illégale dans l’usine, je pouvais voir qu’il était possible que une nouvelle attaque, comme celui du 11 septembre, pourrait avoir lieu. Les autres pensaient que le vrai gouvernement (sous GW Bush) voulait vraiment que cette activité eût lieu. Je crois que c’est pour ça que je suis poursuivie. Par ailleurs, Elsebeth Baumgartner a été arrêtée, je crois, pour une pareille raison (qui concerne le vol des technologies microbiologiques.)
D’abord je suis allée en Suisse. C’était une erreur ! La Suisse a rejeté ma demande d’asile, et j’ai été empoisonnée plus en Suisse. Les médecins ne m’aidaient pas, mais après que ma demande d’asile était rejetée, un médecin a fait deux analyses de cheveux. L’une montre que j’ai eu plus de métaux lourds après que j’habitais en Suisse que j’avais eu après mon empoissonnement aux États-Unis. La deuxième analyse montre qu’avant novembre 2005, je n’avais pas eu de métaux lourds dans les cheveux (c’est-à-dire, dans l’organisme).
Puis, je suis entrée en France. Ici, je suis encore empoisonnée. Je suis allée à la police, qui a envoyé ma plainte d’empoisonnement au procureur. Le procureur m’a écrit que ma plainte ne s’agit pas d’une infraction. Alors, il est légal en France de m’empoisonner.
Je suis allée à l’Hôpital Européen Georges Pompidou. Je leur ai expliqué la situation et je leur ai montré les trois analyses de cheveux et la bouteille de jus qui me rendait malade le jour avant. Ils ont jeté dans la poubelle les deux analyses qui montrent que je souffre des niveaux de métaux lourds trop hauts ; ils ont regardé dans mon dossier seulement l’analyse des cheveux qui avaient poussé de la tête avant novembre 2005—l’analyse qui montre qu’avant mon empoisonnement de novembre 2005, je n’avais pas des métaux lourds dans l’organisme. L’hôpital n’a fait aucune analyse d’empoisonnement eux même. Puis ils ont déclaré que je suis "délirante".
J’ai essayé de faire analyser des échantillons de nourriture et de médicament alternatif. Les associations comme Que Choisir ont refusé d’analyser les échantillons. Le Laboratoire de chimie analytique et minérale à Strasbourg (lié, parmi d’autres organisations, à l’Université Louis Pasteur) a accepté la tâche et les échantillons, puis il a arrêté de communiquer avec moi. Je n’ai jamais reçu ni les résultats ni les échantillons. Des preuves de ces affirmations étaient filmées ; ces vidéos sont sur youtube.com. Voyez la fin de l’article.
Il est presque "normal" maintenant qu’il y a des cambriolages chez moi, mais je peux aussi acheter de la nourriture qui est déjà empoisonnée aux marchés et aux supermarchés. Donc, je suis allée aux beaucoup de bureaux de l’Etat pour me plaindre. Ils m’ont entendue et ils m’ont crue. Un fonctionnaire m’a dit qu’ils ont fait des analyses et ils ont commencé une enquête. Mais ce fonctionnaire et les autres n’ont voulu ni parler à moi, ni me donner des informations.
Je crois que c’est la CIA qui me poursuit. Mon ennemi est très puissant : les avocats, les médecins—les hôpitaux !—ont peur de m’aider. La Poste ne m’a jamais rendu un paquet qui m’était envoyé recommandé. Mon ennemi est indépendant de l’autorité politique : mes activités ne plairaient à Bush, mais la Maison blanche de Obama compatit à moi. Les méthodes qui sont utilisées contre moi sont des méthodes de la CIA. Mais vraiment, je ne peux pas être sûre. Et puis, il y a des factions de la CIA : des factions au sein de la CIA et des factions des gens qui travail avec la CIA mais qui ne font pas partie de la CIA. Le scandale de Iran-Contra est un exemple de la deuxième sorte.
En France, je voyais qu’il y a des français qui me suivaient. Ils voulaient savoir qu’est-ce que se passait, je pensais. J’ai vu aussi qu’il y avait des gens qui n’étaient pas français qui me suivaient. Après quelques mois, j’ai parlé à eux. "Travaillez-vous pour la CIA ?" "Pardon. Où travaillez-vous ?" Un homme travaillait pour l’Eurostar, la compagnie qui est responsable du tunnel sous la Manche, dans lequel il y a toujours des accidents. A quelques femmes : "Excusez-moi. Vous venez de quel pays ?" Réponse : "France !" Moi : "Oh. Vous venez de quelle région ?" (pause) "La région Parisienne." "Non ! Vous n’êtes pas français !" "Oui, oui ! Je suis français !" Une fois, le soir, un homme a descendu avec moi à la station du métro près de chez moi (Alexandre Dumas—sympa, mais pas de site touristique). Il a essayé de saisir mon caméscope. "Arrête !" j’ai cri. "Vou(s) arrête !" il a répondu !
Maintenant je crois que je peux identifier les américains qui me suivent (peut-être des employés de la CIA) sans parler avec eux. Ils sont presque tous blancs, pâles et de l’âge mûr. Ils mangent souvent en prenant des transports en commun ou en marchant. Ils font souvent des grimaces ; ils marmonnent à eux-même. Ils lisent en prenant des transports en commun, parfois du courrier que, on doit supposer, ils ont reçu ici chez eux. Ils tussent souvent près de moi ; si je tusse après, ils disent que je suis folle. Ou ils éternuent, bâillent, ou ils touchent la tête ou la figure. Ils boitent parfois. Ils essayent de cacher la figure : ils portent des lunettes (souvent noires), un chapeau ou un foulard. Les femmes se teignent les cheveux. Les femmes sont souvent petite ou mince. Les hommes ont souvent les petits pieds. La première fois quand je l’ai exprimé, l’homme dont j’ai parlé a levé la main pour ajuster les lunettes, tout en me regardant, mais il a seulement utilisé le troisième doigt ! Ils essayent parfois de paraître plus jeune. Parfois ils s’habillent comme une femme.
(Comprenez que des descriptions que j’écrivais peuvent se changer. Si des employés de la CIA lisent cet article, peut-être ils arrêtent de manger en prenant des transports en commun et de faire des grimaces, par exemple.)
Après un espace de temps, je me suis aperçue que les français qui me suivaient ont commencé à imiter les employés de la CIA. (Les flics secrets sont souvent plus jeunes que les employés de la CIA, et ils incluent aussi des gens (hommes) d’origine arabe et africain.) Puis je me suis aperçue que l’empoisonnement dans la nourriture était devenu beaucoup plus toxique, et que des employés des magasins savaient que la nourriture qu’ils vendaient était empoisonnée. Les vendeurs ont l’air très enthousiaste de me servir. Ils chuchotent à leurs collègues en me regardant. Deux fois, des employés ont pris quelque chose que j’ai achetée et l’a remplacée avec quelque chose d’autre. Une fois, la caissière m’a dit que la caisse ne pouvait pas compter l’article. Puis l’article qu’elle m’a donné a été très toxique. L’autre fois, le caissier a remplacé mon article avec un article similaire d’une autre marque. Je ne l’ai pas remarqué avant que je suis rentrée chez moi. Je ne l’ai pas mangé. Quelques fois des caissiers, voire des hommes de sécurité, ont regardé des gens qui ont ouvert mon sac à cabas, qui était devant la vitrine, et ont empoisonné la nourriture à l’intérieur, pendant que je faisais les courses.
Enfin j’ai compris : ce sont les français qui m’empoisonnent maintenant. Peut-être les vendeurs sont si heureux de me servir parce qu’il n’y a pas d’autre place pour poser des déchets radioactifs, dont il y en a trop en France. Mais non ; je pense plutôt qu’ils sont sadiques. Le terme "passive-agressive" décrit quelqu’un qui a envie d’être agressif, mais normalement a trop de peur d’être agressif. Il fait donc des faits méchants.
Les autorités français savent pourquoi je suis en France. Ils savent que je ne suis pas criminelle et que je travaille pour la justice sociale. Ils savent que j’ai fui des États-Unis pour trouver protection contre ceux qui m’empoisonnent.
Les français disent qu’ils ont beaucoup d’estime pour les droits de l’homme. (Je ne crois pas que le problème est que je suis femme.) Mais les français vivent dans un monde de fantaisie. Je ne peux pas demander le chemin sans qu’un français ment à moi. La France faisait partie de quel camp pendant la seconde guerre mondiale ? Pourquoi on dit que la France était un des grands pays des Alliés ? C’est une pure invention à dire que tous les français faisaient partie de la Résistance. Le gouvernement élu des français soutenait les nazis. Les français exécutaient des antifascistes, dont beaucoup étaient étrangers. Les français eux-même ont envoyé des juifs aux camps de concentration. Seulement après le fait, les nazis ont décidé de diriger cet effort. L’Italie fasciste sous Mussolini n’a pas envoyé des juifs aux camps de concentration.
La presse française n’est pas libre à nous dire toute la vérité. J’ai appelé beaucoup de journalistes parce que je voudrais que mon histoire fût publiée. Une journaliste du Canard enchaîné m’a dit que son journal ne publierait pas mon histoire parce qu’il publie seulement des articles sur la politique. Un journaliste du journal Plan B m’a demandé pourquoi les français doivent s’intéresser à une empoisonnement de la nourriture. Un journaliste de L’Express m’a demandé pourquoi les français doivent s’intéresser à une américaine qui est empoisonnée par une partie de son gouvernement. Seulement l’Agence France Presse paraissait de vouloir écrier la vérité. Il y avait des très grandes bannières sur son bâtiment qui disaient qu’elle est bâillonnée. Il y a quelques mois j’ai lu que la direction et les finances de l’AFP se changeraient, et qu’elle craignait qu’elle perdrait sa indépendance.
C’est la France.
Je l’explique comme ça :
Je m’imagine que les français sont une grande tribu ou une fédération des Gaulois. Pour eux, il est nécessaire de se soutenir toujours ; sinon, l’individu peut être en danger. Ça explique aussi la xénophobie des français.
Puis, on ajoute les dirigeants. Après les romans, c’étaient les francs, une tribu allemande. Ensuite, jusqu’à aujourd’hui, il paraît que les dirigeants sont souvent dirigé par des membres des sociétés secrètes. Le Point ne cesse pas de nous dire comment les francs-maçons sont vachement puissants en France. La France est un centre des sociétés secrètes depuis des siècles. Ces sociétés sont intimement liées aux gouvernements français, celui de de Gaulle inclus, que le livre L’Enigma Sacrée, de Baigent, Leigh et Lincoln, explique en détail.
Selon ma théorie, les sociétés secrètes de l’Europe et des États-Unis (on pense de la société de Skull and Bones de Yale Univerity) ont le même secret et le même but. Je crois qu’elles sont un moyen de produire et de conduire des dirigeants (des esclaves) du Nouvel ordre mondial (the New World Order) dont GHW Bush (membre de Skull and Bones), parlait, parmi d’autres. Le Nouvel ordre mondial est une continuation du Nouvel ordre des nazis.
On dit que les révolutions américaine et français étaient le travail des francs-maçons parce que sous les anciens régimes, on n’avait pas la chance de diriger un pays si on ne faisait pas partie de l’aristocratie. Si une société s’est fondée sur l’argent, ceux qui manipulent l’argent dirigent la société. The Pecora Commission du Sénat du Congrès américain enquêtait sur l’origine de la crise de Wall Street de 1929. Elle a trouvé que des dirigeants des banques comme la Chase Bank et la National City (future Citibank) ont été impliqués. Récemment, la crise des prêts "subprimes" hypothécaires était clairement planifiée. Beaucoup de gens ont averti Alan Greenspan et la Fédéral Réserve (la banque centrale des États-Unis, dirigée par des banques privées) que si les banques continuaient à accorder des prêts à ceux qui n’avaient pas les moyens de les rembourser, il y aurait une grand crise. La crise suivante (la crise dernière) était la faute des manipulations des experts.
De nous jours, les bombes atomiques sont aussi liées avec la puissance. Les centrales nucléaires sont liées aux bombes atomiques parce que elles produisent du plutonium, qui est utilisé pour commencer les réactions nucléaire dans une bombe. C’est plus facile que l’utilisation de l’uranium. La France est évidement obsédée des choses nucléaire. C’était Charles de Gaulle qui l’a commandé ? Mais la France a beaucoup plus plutonium et d’autres déchets nucléaires dont elle a besoin. Elle exporte des technologies et des matériels nucléaires. Mais cela peut, à la fin, mettre la France en danger. Peut-être ces décisions ne sont pas prises pour la gloire de la France, mais pour un autre but. A propos de cela, la CIA pardonnait la diffusion au monde des technologies et des matériels nucléaires du réseau pakistanais de AQ Khan.
En France comme ailleurs, ceux qui promeuvent le Nouvel ordre mondial ne abandonnent jamais le pouvoir. Les français, toutefois, aiment la politique à l’extrême, depuis qu’il étaient les Gaulois, au moins. Ils s’aiment aussi très. La trêve : si les français réclament trop fortement le pouvoir, les vrais dirigeants (des esclaves du Nouvel ordre mondial) les massacrent. Il y a aujourd’hui plus de flics que des manifestants à une manifestation.
Il y a peu de différence entre une dictature communiste (le socialisme international, pour tous) et le fascisme (le socialisme national, pour une ethnie.) Les deux idéologies étaient très populaires en France avant qu’elles ont été devenues politiquement incorrectes. Une différence importante : les communistes font le seul groupe qui lutte toujours contre le fascisme. Est-ce que ça explique l’acharnement avec lequel le communisme est poursuivi par des pouvoirs capitalistes ?
La France n’a pas une dictature, mais elle est un pays très centralisé dans lequel personne n’a pas de responsabilité. Si je veux rendre quelque chose qui m’a rendu malade au magasin où je l’ai achetée, la direction du magasin ne veut pas ni prendre ma plainte ni me rembourser. Beaucoup de magasins ne veulent pas me rembourser des achats toujours dans l’emballage original encore fermé. Seul le chef de l’Etat accepte la responsabilité, et les français disent qu’il ne fait pas des fautes.
La France, une démocratie ? Combien des "élus" en France sont élus par la base ? Liberté, égalité, fraternité ? Ceux ne sont pas les principes directeurs des français en Algérie avant son indépendance. Beaucoup d’estime pour les droits de l’homme ? Quand j’ai appelé la Ligue des droits de l’homme pour me plaindre de la décision de l’Hôpital Georges Pompidou, une femme m’a demandé de leur rappeler quelques heures plus tard. Quand j’ai rappelé, un homme m’a dit qu’il était dans une cabine téléphonique, que ça n’était pas le numéro de téléphone de la Ligue des droit de l’homme. Je trouve que c’est presque une règle que les français ne disent pas la vérité.
Cela j’explique comme ça :
Pour les français à admettre que leurs grands amours, celui de la politique et celui de la solidarité, leur sont démentis, c’est presque à démentir leur être. Au lieu de cela, ils habitent dans un monde imaginaire. Je trouve que l’excès de divertissement à Paris (je ne connais pas toute la France) est une évasion de la réalité. Je veux parler d’un empoisonnement politique et de l’avenir du monde, mais c’est impossible (plus qu’une seule fois) avec les français, sauf si la discussion est surveillée par des amis du Nouvel ordre mondial. Mais si je voudrais aller à une exhibition d’art, à un festival de film, à une pièce, à un concert, etc., etc., etc., etc., etc., etc., etc., etc., j’aurais trop de choix.
La voilà. Les français—des autorités et des citoyens—me tuent. C’est un devoir de quelques-uns, c’est l’identité nationale des autres.
Auparavant, j’ai publié deux articles en anglais sur des sites d’indymedia (en mai et en août 2009 sur les sites américains de Saint Louis, San Francisco, Portland, et d’autres). http://pittsburgh.indymedia.org/new... (le deuxième) a un lien à http://www.indybay.org/newsitems/20... (le premier). J’ai aussi essayé de partager un vidéo de trois parties sur youtube.com, aussi en anglais : http://www.youtube.com/watch?v=8YYl... et http://www.youtube.com/watch?v=0iDu... . La troisième partie ne paraît jamais. Jusqu’à maintenant (le 13 février 2010), on ne peut pas trouver les deux premières parties avec une recherche des tags, du nom de l’auteur (moi) ou d’une partie du titre. Il faut taper tout le titre : "An American in Paris seeking asylum".
 

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