Poupon Fétiche |
Il fait le choix délibéré
et désastreux de se répandre par petites touches sur un
maximum de supports dans l'espoir vain de s'adresser aux débris les
plus archaïsant du troupeau des "degôches" et
néo-sous-gauchistes. Il se contente de leur montrer l'ineptie de
leurs sous-idéologies mais sans jamais faire apparaître quel
marionnettiste guide ces demeurés ni pourquoi.
Son dernier appât:
"L’anticapitalisme est-il toujours de gauche ?*" n'a comme mérite que de permettre là ou il est commenté une débauche de débilitées signifiant clairement quel public d'imbéciles est susceptible de bêler devant ce genre de titres creux et attrape mouches.
"L’anticapitalisme est-il toujours de gauche ?*" n'a comme mérite que de permettre là ou il est commenté une débauche de débilitées signifiant clairement quel public d'imbéciles est susceptible de bêler devant ce genre de titres creux et attrape mouches.
Et oui ma bonne dame la
gôche degôche est elle encore degôche... blabla bla
La pseudo-critique
d'élevage (dixit Debord) n'a rien de nouveau, elle règne en France
depuis le plan ATTAC mitonné à la fin des années 80 pour balader
toute une génération de touristes politiques antimondialisation (ou
anticapitaliste, la critique radicale du capitalisme ne se limite pas
à une simple position "anti" bornée et simpliste) et la
ritournelle antifasciste est une constante depuis l'après guerre.
Cet anticapitalisme de
pacotille n'est que le faire valoir de altermondialisme drivé par
ATTAC et pas depuis 2008 mais c'est depuis Seattle en 1999 qu'il est
visible. Jappe amalgame volontairement Occupy pour mieux
déconner dessus.
Anselm Jappe fait les mêmes
erreurs que Kurz et pour les mêmes raisons. Ils ont intégré sans
la moindre critique sérieuse l'héritage suspect de l'École
de Francfort dont il faut encore une foi rappeler la tare
originelle:
- L’École de Francfort
rejeta toute idée de Révolution au motif qu'immanquablement elle
provoquerait encore une contre-révolution comme la NAZI ou la
Stalinienne.
Ils se mirent donc "naturellement" au service
de l’État capitaliste de RFA avec les subsides de la CIA pour
recycler la génération perdu du nazisme après la seconde guerre
mondiale. Cette pratique était pourtant en contradiction avec les
théories qu'ils développèrent sur la réalité du capitalisme, ses
évolutions, la liquidation de la part humaine de l'humanité.
Mais cela ne les gêna
nullement dans leur confort de notables reconnus par le système
fournissant d'amusantes analyses pour l'étudiant futur cadre du
système capitaliste...
Seul l'épisode de MAI68
vint proprement gifler leurs ronrons satisfaits d’où leur
ressentiment transmis en ligne directe aux théoriciens de la
Valeur.
La défense démentielle
de l’État d’Israël et la peur du remake antisémite des années
30 est au cœur de la part maudite que l'on retrouve chez Kurz comme
chez Jappe.
Comme si l'histoire était
un mouvement circulaire sur lui-même se répétant indéfiniment et
plus encore avec la Crise Finale du capitalisme.
Si l'idée
Révolutionnaire doit être rejetée aujourd'hui elle doit l’être
pour de BONNES RAISONS. Et ce rejet ne doit en aucune façon
concerner les luttes sociales et les révoltes contre la folle
tyrannie du système capitaliste.
Que les puissants ne
maîtrisent pas le Sujet Automate ne les exonères
nullement de la tyrannie qu'ils imposent sous la forme du choix du
pire pour sauvegarder la création de valeur à tout prix ce qui
signifie purement et simplement asservissement et la liquidation de
la plus grande part de l'humanité et du vivant sur la terre.
Non seulement la
"Critique d’Élevage" (ATTAC, ANTIFA...) mise en place
préventivement n'est pas analysée mais la plus grande confusion est
entretenue entre les luttes sociales réelles et leur simulation
contre-révolutionnaire. Ainsi sont confondu "Open Source"
et "Logiciel Libre", "Indignés" et "Occupy",
les 10 millions de grévistes de MAI68 avec les seuls étudiants...
Seuls les ringards
néo-léninistes Opéraïstes sont critiqués mais sans dire que la
chose avait déjà été faite par d'autres. Et si les Pussy Riot
étaient abordées elles seraient volontairement confondu avec les
FEMEN et pourquoi pas les HOMMEN, tout cela est indigne d'un courant
qui pourtant à permis un progrès considérable dans la saisie du
capitalisme bien au delà de la critique du fétichisme que les Situs
avaient exploré et Debord théorisé dans ses principaux ouvrages.
Seulement justement
Debord ne séparait jamais la théorie de la pratique ce qui tranche
avec la posture intello universitaires que continuent à afficher
EXIT, KRISIS et leurs partisans.
Ne surtout pas froisser
la Gouvernance Mondialisée pour tranquillement continuer à
percevoir un salaire d’État et même donner un coup de mains en
crachant sur les luttes réelles et en entretenant la confusion.
Les courants de l'avenir
devront donc prendre dans la Critique de la Valeur ce qui est
véritablement novateur pour la critique sociale, abandonner les
archaïsmes hérités du vieux mouvement prolétarien et renvoyer
dans les cordes ces universitaires indignes.
Paradoxe de l'Autonomie:
Nous savons tous que les principes d'auto-organisation des luttes sont une nécessité absolue du fait du contrôle totalitaire de l'ensemble des structures organisées par les polices de la gouvernance mondialisée. Dans ce monde du contrôle absolu comment des mouvements du type fasciste/NAZI forcément très hiérarchisés pourraient échapper un seul instant à ce contrôle ? ne pas en être l'émanation choisie.
Il n'existe aucune menace sérieuse en dehors du totalitarisme en place quel que soit le nom frauduleux qu'il se donne toutes les manettes sont entre ses mains.
Paradoxe de l'Autonomie:
Nous savons tous que les principes d'auto-organisation des luttes sont une nécessité absolue du fait du contrôle totalitaire de l'ensemble des structures organisées par les polices de la gouvernance mondialisée. Dans ce monde du contrôle absolu comment des mouvements du type fasciste/NAZI forcément très hiérarchisés pourraient échapper un seul instant à ce contrôle ? ne pas en être l'émanation choisie.
Il n'existe aucune menace sérieuse en dehors du totalitarisme en place quel que soit le nom frauduleux qu'il se donne toutes les manettes sont entre ses mains.
L'exploitation du racisme est affaire d’État comme le montre les déclaration du syndicat officiel Alliance inventant des détrousseurs de cadavres pour nourrir la fascisation avec toute la puissance médiatique possible et cela en France depuis presque 30 années pour dénigrer nos camarades des banlieues.
Mais cela n’effleure pas un Jappe qui préfère s'en prendre aux insuffisances du prolétariat dans ses combats alors qu'il sait pertinemment que le prolétariat, produit du capitalisme, n'est aucunement porteur d'un projet historique de dépassement du dit capitalisme.
Une "Classe de la Conscience" n'a aucunement besoin de sergents-majors autoproclamés distribuant des bons-points et des coups de trique mais d'explorer les possibles et c'est exactement ce qui se cherche à tâtons aujourd'hui dans les mouvement sociaux.
* Postone a démontré que l'anticapitalisme des NAZI quoi que frustre était sincère et les SA de Röhm le paieront de leur vie pendant la Nuit des Longs Couteaux. Hitler les sacrifia aux capitalistes allemands qui en échange financeraient son réarmement mais au seul bénéfice de l'armée, sans les SA qui seront incorporés dans la nouvelle Luttwaffe aux bons soins de Göring.
Ernst Röhm souhaitait pousser plus loin l'élan révolutionnaire anticapitaliste en absorbant la Reichswehr, et faire des SA le bras armé de l'aile socialisante du NSDAP.
Qui n'a pas été troublé par les photos de la Grève des loyers à Berlin en 1931/32 ou drapeaux rouge du KPD et étendards NAZI sont mêlés sur les façades des immeubles.
Une guerre de rue communistes et nazis
Mais cela n’effleure pas un Jappe qui préfère s'en prendre aux insuffisances du prolétariat dans ses combats alors qu'il sait pertinemment que le prolétariat, produit du capitalisme, n'est aucunement porteur d'un projet historique de dépassement du dit capitalisme.
Une "Classe de la Conscience" n'a aucunement besoin de sergents-majors autoproclamés distribuant des bons-points et des coups de trique mais d'explorer les possibles et c'est exactement ce qui se cherche à tâtons aujourd'hui dans les mouvement sociaux.
Ernst Röhm souhaitait pousser plus loin l'élan révolutionnaire anticapitaliste en absorbant la Reichswehr, et faire des SA le bras armé de l'aile socialisante du NSDAP.
Qui n'a pas été troublé par les photos de la Grève des loyers à Berlin en 1931/32 ou drapeaux rouge du KPD et étendards NAZI sont mêlés sur les façades des immeubles.
Une guerre de rue communistes et nazis
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