jeudi 14 juin 2012

L'injustice britannique valide l’extradition de Julian Assange

Julian Assange a demandé l'«asile politique» à l'Équateur, adressant une requête en ce se sens à l’ambassade de ce pays latino-américain à Londres, a annoncé mardi à Quito le chef de la diplomatie équatorienne, Ricardo Patiño.

La Cour suprême britannique a rejeté aujourd’hui la demande de réexamen de l’appel déposé par Julian Assange, qui ne dispose plus pour éviter son extradition vers la Suède que d’un éventuel recours devant la Cour européenne des droits de l’homme à Strasbourg.

La Cour suprême avait donné le 30 mai dernier son feu vert à l’extradition du créateur du site WikiLeaks, mais la défense d’Assange avait surpris en demandant la réouverture du dossier pour une raison procédurale. Les sept juges de la plus haute juridiction britannique ont rejeté à l’unanimité cette dernière demande, la jugeant « sans fondement ».
Ils ont précisé que la « période requise pour l’extradition ne pourrait commencer avant 14 jours à partir de ce jour », 14 juin 2012.

Les avocats de Julian Assange doivent mettre cette période à profit pour se pourvoir devant la Cour européenne des droits de l’homme à Strasbourg, son ultime recours.

La saga judiciaire du fondateur de WikiLeaks dure depuis 18 mois. L’Australien, âgé de 40 ans, avait été arrêté en décembre 2010 à Londres en vertu d’un mandat d’arrêt lancé par la Suède dans le cadre d'un complot CIA pour une pseudo affaire de viol et d’agression sexuelle bidon sur deux Suédoises (dont un agent archi-connu des services de la CIA).
Julian Assange clame son innocence, assurant avoir eu des relations librement consenties avec ses deux accusatrices, et dénonce un complot pour le faire taire. L'imbécile c'est fait piégé bêtement comme un débutant qu'il n'est pourtant pas lui qui en 1989 à 16 ans hackait la NASA (lire son livre Underground) ...

WikiLeaks est devenu la hantise des chancelleries du monde entier en 2010 en divulguant des milliers de documents confidentiels de l’armée américaine sur les massacres d’Afghanistan et d’Irak, puis 250 000 télégrammes diplomatiques américains révélant le dessous des cartes.

Toutefois, son aura a considérablement pâli ces derniers mois suite aux campagnes de calomnies orchestrées par FBI/NSA/CIA et Cie. Les principaux médias à l’avoir soutenu ont pris leurs distances sur ordre comme c'était facilement prévisible et les rangs de ses partisans se sont clairsemés avec le travail de sape mené par les équipes de l'agent Obama actuel président des USA et successeur de Bush à la tête de la plus dangereuse dictature du monde.
Assange est le symbole le plus éclatant de la liberté malgré les conneries qu'il fait depuis que pressions et manipulations médiatiques le court-circuite.
C'est l'ensemble des communautées libres du réseau qui sont responsables de sa liberté et de sa survie. Cibler Assange c'est prendre le risque pour les puissances étatiques et capitalistes de voir le réseau se transformer en champ de bataille en pleine crise !
Sont-ils prêt à perdre le contrôle de leur principale pompe à fric et outil d'administration des apparences ?
Cela signifierait que la guerre mondiale est déclaré et que le système capitaliste se sait perdu de toute façons et à court terme.
Ne pouvant que se perdre dans une mondialisation du néo-nazisme (préparé en Grèce) avec le totalité des dispositifs, si ils sont obéit par les esclaves-salariés.
Une condamnation d'Assange serait une condamnation à mort de la totalité des hacktivistes quelque en soit le rythme ou le détail.

Mais restez Positif votre sécurité est parfaitement assuré et à tout point-de-vue...

                                                           Relisez Omar Khayyam, Quatrain XCIV


UNDERGROUND



Monday, 16 October, 1989 
NASA’s Goddard Space Flight Center, 
Greenbelt, MarylandAcross the vast NASA empire, reaching from Maryland to California,from Europe to Japan, NASA workers greeted each other, checked their in-trays for mail, got their cups of coffee, settled into their chairs and tried to login to their computers for a day of solving complexphysics problems. But many of the computer systems were behaving very strangely.From the moment staff logged in, it was clear that someone--or something--had taken over. Instead of the usual system’s official identification banner, they were startled to find the following message staring them in the face: 

              W O R M S               A G A I N S T               N U C L E A R               K I L L E R S   
               _______________________________________________________________                                          
                                          Your System Has Been Officically WANKed 
               ____________________________________________

You talk of times of peace for all, and then prepare for war.Wanked? Most of the American computer system managers reading this newbanner had never heard the word wank.Who would want to invade NASA’s computer systems? 
And who exactly werethe Worms Against Nuclear Killers? Were they some loony fringe group?Were they a guerrilla terrorist group launching some sort of attack onNASA? 
And why ‘worms’? A worm was a strange choice of animal mascotfor a revolutionary group. Worms were the bottom of the rung. As in‘as lowly as a worm’. Who would chose a worm as a symbol of power? 
As for the nuclear killers, well, that was even stranger. The banner’smotto--‘You talk of times of peace for all, and then prepare forwar’--just didn’t seem to apply to NASA. 
The agency didn’t makenuclear missiles, it sent people to the moon. 
It did have militarypayloads in some of its projects, but NASA didn’t rate very highly onthe ‘nuclear killer’ scale next to other agencies of the USGovernment, such as the Department of Defense. So the questionremained:
 why NASA?And that word, ‘WANKED’.
 It did not make sense. What did it mean whena system was ‘wanked’?It meant NASA had lost control over its computer systems.A NASA scientist logging in to an infected computer on that Monday gotthe following message

deleted file
deleted file
deleted file
deleted file  
deleted file  
deleted file 
With those lines the computer told the scientist: ‘I am deleting allyour files’.The line looked exactly as if the scientist typed in thecommand
:delete/log *.*--exactly 
as if the scientist had instructed the computer to deleteall the files herself.

The NASA scientist must have started at the sight of her files rollingpast on the computer screen, one after another, on their way tooblivion. Something was definitely wrong. She would have tried to stopthe process, probably pressing the control key and the ‘c’ key at thesame time. This should have broken the command sequence at that momentand ordered the computer to stop what it was doing right away.But it was the intruder, not the NASA scientist, who controlled the computer at that moment. And the intruder told the computer: ‘That command means nothing. Ignore it’.

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