Dans les années 1989-1996
On ne va pas revenir encore et encore sur notre action pendant les années SIDA. Toutes les infos sont sur ce blog et ici. Nous insistons UNIQUEMENT sur les résultats possibles, nos buts et nos méthodes qui sont reconnus par les corps scientifiques et médicaux (même la presse internet ou pas reconnaît que c'est l'action des activistes des années 90 qui a été déterminante).
Lorsque votre survie même est attaquée par les médiats (populations à risques désignées comme étant les homosexuels, les toxicomanes et les noirs et immigrés) vous n'avez pas d'autre choix que de vous défendre énergiquement. Les sidatoriums de Le Pen auraient tout aussi bien pu être des éléments du débat démocratique...
C'est l’exigence capitaliste elle-même qui transforme le sang humain en marchandise trompeuse. Garretta est un honnête serviteur de la Valeur qui ne veut rien perdre de la valeur marchande de ses stocks, concurrence oblige...
L'opinion ébranlée par le scandale du Sang Contaminé, les autorités ne pouvaient que céder aux exigence des activistes qui ne demandaient qu'une politique cohérente de Santé Publique. Le SIDA devenait une cause fréquentable...
De tels résultats sont TOUJOURS momentanés et résultent du rapport-de-force imposé par notre action qui vise à former une Opinion PUBLIQUE. Nous sommes nés pour convaincre.
Ceux qui préfèrent mourir tranquillement dans leur coin ne sont pas concernés et doivent arrêter ici leur lecture. Le choix de sa mort est parfaitement respectable et ne concerne que la victime d'un tel choix. Certes la fin de vie d'un hépatique-cirrhotique, alcoolique ou pas, n'est pas belle à vivre. Surtout quant on sait qu'il existe enfin des traitements efficaces et supportables
La période est défavorable aux avancées sociales, bien plus que dans les années 90 encore proches du vieux consensus des "trente Glorieuses". Les Lois Sarkozy sur l'ALD privent les malades hépatiques du remboursement automatique à 100% que nous avions obtenu. Seule la période de soins intensifs est désormais prise en charge par la CPAM (sécu). Sans évaluation (payante et comprenant fibrotest, fibroscan, biopsie, dépistage, échographie du foie...) fine de la pathologie par les analyses et tests pas de diagnostique et pas de traitement !
Nos concitoyens (parait-il) devront donc mourir en silence si ils n'imposent pas une nouvelle politique de santé publique pour l'épidémie hépatique. Or nous disposons enfin de traitement adaptés pour les rechuteurs et co-infectés HIV, les nouvelles Trithérapies. Seulement l’hôpital ne peut traiter que 10 à 12000 malades par ans sur les 600000 déclarés c'est très peu.
Sans parler du dépistage de 70% de la populations qui ne connaît toujours pas sa sérologie et la découvre trop tard lorsque la cirrhose est déjà avancée...
Il s'agit maintenant d'attaquer une autre épidémie masquée par le HIV-SIDA: Les Hépatites - HVC et HVB et Co-infections (HIV-HVC/HVB) en premier lieu.
Un nouveau scandale est actuellement étouffé par les médiats à la botte:
Lorsque votre survie même est attaquée par les médiats (populations à risques désignées comme étant les homosexuels, les toxicomanes et les noirs et immigrés) vous n'avez pas d'autre choix que de vous défendre énergiquement. Les sidatoriums de Le Pen auraient tout aussi bien pu être des éléments du débat démocratique...
C'est l’exigence capitaliste elle-même qui transforme le sang humain en marchandise trompeuse. Garretta est un honnête serviteur de la Valeur qui ne veut rien perdre de la valeur marchande de ses stocks, concurrence oblige...
L'opinion ébranlée par le scandale du Sang Contaminé, les autorités ne pouvaient que céder aux exigence des activistes qui ne demandaient qu'une politique cohérente de Santé Publique. Le SIDA devenait une cause fréquentable...
De tels résultats sont TOUJOURS momentanés et résultent du rapport-de-force imposé par notre action qui vise à former une Opinion PUBLIQUE. Nous sommes nés pour convaincre.
Ceux qui préfèrent mourir tranquillement dans leur coin ne sont pas concernés et doivent arrêter ici leur lecture. Le choix de sa mort est parfaitement respectable et ne concerne que la victime d'un tel choix. Certes la fin de vie d'un hépatique-cirrhotique, alcoolique ou pas, n'est pas belle à vivre. Surtout quant on sait qu'il existe enfin des traitements efficaces et supportables
La période est défavorable aux avancées sociales, bien plus que dans les années 90 encore proches du vieux consensus des "trente Glorieuses". Les Lois Sarkozy sur l'ALD privent les malades hépatiques du remboursement automatique à 100% que nous avions obtenu. Seule la période de soins intensifs est désormais prise en charge par la CPAM (sécu). Sans évaluation (payante et comprenant fibrotest, fibroscan, biopsie, dépistage, échographie du foie...) fine de la pathologie par les analyses et tests pas de diagnostique et pas de traitement !
Nos concitoyens (parait-il) devront donc mourir en silence si ils n'imposent pas une nouvelle politique de santé publique pour l'épidémie hépatique. Or nous disposons enfin de traitement adaptés pour les rechuteurs et co-infectés HIV, les nouvelles Trithérapies. Seulement l’hôpital ne peut traiter que 10 à 12000 malades par ans sur les 600000 déclarés c'est très peu.
Sans parler du dépistage de 70% de la populations qui ne connaît toujours pas sa sérologie et la découvre trop tard lorsque la cirrhose est déjà avancée...
Il s'agit maintenant d'attaquer une autre épidémie masquée par le HIV-SIDA: Les Hépatites - HVC et HVB et Co-infections (HIV-HVC/HVB) en premier lieu.
Un nouveau scandale est actuellement étouffé par les médiats à la botte:
Le stylo du laboratoire américain Merck permettant d’injecter le ViraferonPeg, un des produits de référence dans le traitement de l’hépatite C est une Arnaque !
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