日本:多数の人々が放射能にさらされたままになっている!
Jusqu'ici, l'Agence japonaise classait l'accident au niveau 5, ce qui correspond à un "accident ayant des conséquences étendues", tandis que son homologue française l'évaluait à 6, le niveau d'un "accident grave". Le niveau 7, le plus important, correspond à un "accident majeur". Seule la catastrophe de Tchernobyl a été classée jusqu'à présent à ce degré maximal, signifiant qu'un "rejet majeur de matières radioactives" s'est produit avec "des effets considérables sur la santé et l'environnement".
Une forte secousse de magnitude 6,3 s'est produite, mardi en début d'après-midi, dans la préfecture de Fukushima. Son hypocentre était situé à seulement 10 km de profondeur. Les employés de la centrale de Fukushima-1 ont été évacués par précaution. Tepco a assuré que ses pompes électriques continuaient de fonctionner normalement pour refroidir les réacteurs nucléaires. Selon les experts, des tremblements de terre répétés pourraient provoquer des dégâts supplémentaires sur la centrale déjà gravement endommagée.
De quoi alarmer les investisseurs : à moins de deux heures de la clôture, l'indice Nikkei abandonne près de 2,1% à 9519 points. Alors que le yen grimpe, les acteurs du marché cherchent à évaluer les conséquences des suites du séisme du 11 mars sur les entreprises et l'économie japonaise.
Les usines de Toyota, qui devaient toutes redémarrer d'ici au 18 avril, pourraient encore tourner au ralenti jusqu'en juillet, selon une lettre envoyée par le directeur général de la filiale américaine, Bob Carter, au réseau de distributeurs. Aux Etats-Unis, Toyota dispose de moins de deux mois de stocks et devrait être face à des pénuries de véhicules durant l'été.
De son côté, Ford estime que ses bénéfices devraient être affectés par les interruptions de production au Japon. Même si le constructeur automobile ne dispose pas d'usine au Japon, la paralysie de ses sous-traitants dans l'archipel provoque une pénurie de certaines pièces et bloque la production du constructeur automobile américain. Ford précise que les comptes de sa branche financière, Ford Motor Credit, pourrait eux aussi pâtir de la catastrophe.
Fukushima n'est pas et ne sera pas Tchernobyl même s'il s'agit d'un accident très grave", a assuré le désinformateur Patrick Gourmelon, directeur de la radioprotection à l'IRSN (officine d'État aux ordre du complexe militaro-nucléaire). Gourmelon, un nom dont il faudra se souvenir.
L'IRSN publie l'examen radiologique des Français de retour du Japon
JAPON: contamination.japon@criirad.org
FRANCE (et autres pays): contamination.france@criirad.org
Risques en France v5.pdf
De quoi alarmer les investisseurs : à moins de deux heures de la clôture, l'indice Nikkei abandonne près de 2,1% à 9519 points. Alors que le yen grimpe, les acteurs du marché cherchent à évaluer les conséquences des suites du séisme du 11 mars sur les entreprises et l'économie japonaise.
Les usines de Toyota, qui devaient toutes redémarrer d'ici au 18 avril, pourraient encore tourner au ralenti jusqu'en juillet, selon une lettre envoyée par le directeur général de la filiale américaine, Bob Carter, au réseau de distributeurs. Aux Etats-Unis, Toyota dispose de moins de deux mois de stocks et devrait être face à des pénuries de véhicules durant l'été.
De son côté, Ford estime que ses bénéfices devraient être affectés par les interruptions de production au Japon. Même si le constructeur automobile ne dispose pas d'usine au Japon, la paralysie de ses sous-traitants dans l'archipel provoque une pénurie de certaines pièces et bloque la production du constructeur automobile américain. Ford précise que les comptes de sa branche financière, Ford Motor Credit, pourrait eux aussi pâtir de la catastrophe.
Fukushima n'est pas et ne sera pas Tchernobyl même s'il s'agit d'un accident très grave", a assuré le désinformateur Patrick Gourmelon, directeur de la radioprotection à l'IRSN (officine d'État aux ordre du complexe militaro-nucléaire). Gourmelon, un nom dont il faudra se souvenir.
L'IRSN publie l'examen radiologique des Français de retour du Japon
JAPON: contamination.japon@criirad.org
FRANCE (et autres pays): contamination.france@criirad.org
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