Manifs 19 Octobre 2010
Depuis le 23 mars 2010 les centrales syndicales organisent des journées de protestations pédestres contre la nouvelle réforme des retraites. De 900.000 manifestants en mars, les manifestations deviennent plus massives pour aboutir au 7 puis 23 septembre avec des millions de manifestants et de grévistes.
Cette réforme est ressentie comme un dictat injuste pour les femmes, les salariés et les ouvriers les plus précarisés, et comme une menace contre tous et chacun de nous.
C'est en effet le symbole majeur de la Protection Sociale qui est bousculé : La retraite à soixante ans
Venant en fin de course après les innombrables pertes de droits qui ont marqué ces 20 dernières années c'est l'ensemble des acquis sociaux du prolétariat qui tombent en ruine, une liquidation voulue. Nous sommes de plus en plus nus et prêt à nous faire broyer par le Libéralisme devenu Fou qui marque la fin du capitalisme.
Laissons de coté le caractère spécifique de l'actuel gouvernement il n'est que le clone des anciens gouvernements Chirac avec un dangereux hystérique comme président mais il est usé et sans la moindre légitimité même au sein de sa toute puissante Sécurité Nationale (polices, armée).
Un rapport de force limité au syndical est insuffisant même en prenant en compte la multitude d'actions menées localement dans et hors des entreprises.
Il faut du sang neuf, le vent frais des débrayages lycéens sauvages qui commence à souffler partout en France apporte enfin l'élément imprévisible qui manquait a ces froids calculs de technocrates. La bataille pour l'opinion publique est déjà gagnée mais il faut aussi gagner celle du rapport de force par le nombre.
Depuis le 23 mars 2010 les centrales syndicales organisent des journées de protestations pédestres contre la nouvelle réforme des retraites. De 900.000 manifestants en mars, les manifestations deviennent plus massives pour aboutir au 7 puis 23 septembre avec des millions de manifestants et de grévistes.
Cette réforme est ressentie comme un dictat injuste pour les femmes, les salariés et les ouvriers les plus précarisés, et comme une menace contre tous et chacun de nous.
C'est en effet le symbole majeur de la Protection Sociale qui est bousculé : La retraite à soixante ans
Venant en fin de course après les innombrables pertes de droits qui ont marqué ces 20 dernières années c'est l'ensemble des acquis sociaux du prolétariat qui tombent en ruine, une liquidation voulue. Nous sommes de plus en plus nus et prêt à nous faire broyer par le Libéralisme devenu Fou qui marque la fin du capitalisme.
Laissons de coté le caractère spécifique de l'actuel gouvernement il n'est que le clone des anciens gouvernements Chirac avec un dangereux hystérique comme président mais il est usé et sans la moindre légitimité même au sein de sa toute puissante Sécurité Nationale (polices, armée).
Un rapport de force limité au syndical est insuffisant même en prenant en compte la multitude d'actions menées localement dans et hors des entreprises.
Il faut du sang neuf, le vent frais des débrayages lycéens sauvages qui commence à souffler partout en France apporte enfin l'élément imprévisible qui manquait a ces froids calculs de technocrates. La bataille pour l'opinion publique est déjà gagnée mais il faut aussi gagner celle du rapport de force par le nombre.
Nous avons besoin de toutes et de tous dans les rues comme dans l'action partout ou cela est possible. Une marée humaine ne craint aucune répression car sa masse la protège et paralyse toutes les tentatives de provocations de l'État ou des officines privés et de leurs hommes de mains quelque soient leurs déguisements.
Faire reculer la machine a broyer l'humain,
c'est possible maintenant !
Commençons par gagner ce bras-de-fer tous ensembles : Salariés, étudiants, retraités, lycéens, chômeurs, précaires, agriculteurs, sdf, roms, immigrants, femmes, gays, handicapés, malades, exclus, prolétaires...
Après la retraite, l'offensive !
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